Hors Limite |A.G. Tome 1 et 2

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-Allez-y vérifiez.

Il fit le tour de la chambre, du balcon et dieu merci il ne pensa pas à regarder dans le placard.

-La sanction sera énorme si jamais vous vous avisez de désobéir mademoiselle Thomson.

Ouah. J'aurais pu le trouver sexy. Si il ne m'énervait pas autant sous ses petits airs arrogants et surtout si mon petit ami n'était pas dans le placard.

Messieur muscle sortit et le petit blond sortit également du placard.

-C'est qu'il ferait presque peur l'autre.

Il se rapprocha de moi, comme un lion qui faisait le tour de sa proie

-Pschiiiit vire tes salles pates et retourne dans ta chambre toi. Ça m'étonnerait pas qu'il passe la nuit derrière la porte.

Le petit blond me fit une moue des plus irrésistible

-Moi ze voulais dormir avec toi. Répondis ce dernier sur un ton enfantin

-Premièrement je pense que dormir n'est pas le terme que j'emploierais. Et deuxiement je suis pas sur que ça vaille le coût .

Je vis une lueur s'éclairer dans le regard. Oups j'ai déclenché la guerre.

-Moi j'en vaut pas le coût ? Il colla son corps au mien. Moi j'en vaut pas le coût ? Dit il en s'attaquant à mon cou.

Comment je résiste à ça ?
Une vague de chaleur s'emparait de Moi, et un gémissement m'échappa lorsque ses mains froides s'aventuraient sous mon haut.

Alors que mon impatience se faisait ressentir il se détacha brusquement de moi.

-Bonne nuit.

Et il partit. Attendez je croyais que c'était moi qui avait l'avantage au début de cette soirée ? Il est beaucoup trop fort...

En plus je suis sûr que vous aussi êtes déçue.

Enfin passons sur ce je vais prendre une douche pour redescendre ma température et pars me coucher.

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Je me lève de bonheur ce matin avec une envie de faire un petit footing.

Je me prépare et vais courir avant de prendre mon petit déjeuner, après une heure de course je retourne à la cuisine pour déjeuner. La maison est calme, tout le monde dort encore, parfois un peu de solitude fait du bien.

Mais alors que j'entre dans la cuisine je vois quelque chose qui ne me fais pas vraiment plaisir.

Une pouf blonde s'extasie devant Antoine. Non j'suis pas jalouse ok ?

-Ahhahahahahahahahahah Antoine t'es vraiment hilarant. S'extasie cette fille, en touchant Le Bras dy numéro 7

Le pire c'est que oui rigole aussi.
Il s'approche d'elle et chuchote quelque chose à son oreille apparement hilarant. Les nerfs me montent. Vous savez quand vous sentez cette vague de colère qui s'empare d'un coût de vous et qui vous mets hors de vous. Bah là j'ai envie de lui faire avaler ses extensions.

-faut qu'on se reparle plus souvent t'es vraiment À,D,O,R,À,B,L,E. Dit cette dernière en passant sa main dans les cheveux d'Antoine.

Ça elle a pas le droit.
Le pire c'est que lui sourit quoi.

-Pourquoi pas.

Ok la c'est trop j'interviens.

-Ne vous dérangez surtout pas pour moi. Dis-je en le voyant tourner la tête alors que je rentre très discrètement dans la pièce( ironie)

-Oh t'inquiète pas ma Cynthia on se dérange pas.

D'où elle me connaît ?
D'où elle emploie un prénom possessif pour me parler ?

Puis l'autre guignol qui bouge pas la. Cynthia respire, respire.

Je fais mon chocolat chaud et mes crêpes pour ensuite partir m'installer sur la terrasse.

Je suis rejoins après petit à petit par les bleus.

-Salut la plus belle. Dis Lloris en m'embrassant la joue.

-Ma femme la plus belle. Dis Pogba en s'asseyant sur mes genoux.

-Paulo t'es ultra lourd.
-L'amour ça pèse lourd. Me répondit ce dernier

Quel loveur je vous jure.

-Tintintin on oublie pas qu'elle est à moi. Déclara Griezmann.

Alors lui il va aller cordialement se faire voir

Je pousse Paul et me dirige dans la cuisine.

-Jalouse ?

Antoine s'était glissé derrière moi, se contact m'electrisait

-Degage.

-On s'est rien promis Cyn'

-Ah oui c'est vrai excuse moi. D'ailleurs j'vais aller me taper Antho. Dis je d'un ton provocateur plutôt énerver.

-Essaye. Son ton était devenu très sec.

-C'est un défi ?

-Un avertissement princesse.

-Dégage tes putains de surnoms de merde Antoine. J'suis vraiment bête j'ai cru une seconde que ça pourrait être plus que ce jeu débile que t'as lancé. Mais enfaite tu demeures un vrai connard. comme quoi les premières impressions ne trompent pas. Mon ton montait je criais presque.

Je partis mais il tenta de me retenir en attrapant mon poignet mais la haine sur mon regard le fit lâcher.

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I am back

Vous allez bien ?

Les études tout ça ?