Hors Limite |A.G. Tome 1 et 2

Chapitre 2 | T.2

Arrivée sur le parking, je constatais qu'il fallait que j'appelle une dépanneuse, flemme. Pierre m'avait déposé ce matin.

Je passais dans ma voiture pour prendre quelques dossier. mais un bout de papier sur mon pare brise attira mon attention

« Voiture opérationnelle, tu me remercieras en nature bébé.

     Signé : 7 »

Un sourir s'afficha instantanément sur mon visage. Je compris tout de suite que 7 était Antoine.

Pourquoi fallait il que les exs reviennent ? Et surtout pourquoi s'obstinaient ils à revenir lorsque nous les avions oublié ?

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Arrivée dans la salle, j'appelais immédiatement Monsieur Griezmann à la barre.

-Monsieur Griezmann, vous qui avez partagé , un peu plus d'un an avec cette femme et qui lui avez passé la bague au doigt, vous êtes bien d'accord que vous avez aimé cette femme plus que toutes les autres ? Puisque c'est celle si qui a fini par être votre femme.... alors pourquoi alors que ma cliente est prête à vous offrir une vie à deux, vous souhaitez brisé ce que vous lui avez offert ?

Suite à ces mots je regardais la tête du juge. Hop un point pour moi. Cela devrait pourtant me faire plaisir.

Avant de répondre il prit son sourir en coin.

-Je croyais que c'était la bonne, que cette femme méritait plus que les autres, je croyais que je pourrais l'aimer à vie, mais malheureusement nous n'avons jamais partagé une vrai relation de couple, ma femme ne m'a jamais offert le bonheur que jadis j'avais connu avec une autre.

Le salop. Il savait où toucher pour le déstabiliser.

-Vous avez pourtant promis «  Jusqu'à ce que la mort nous sépare ».

-Les promesses sont faites pour être rompus. Répondit ce dernier.

Continue sur cette voix mon coco tu es en train de passer pour un vrai connard devant le juge ce qui est très bon pour moi.

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-Nous aurions plus de chance de le dépouiller que de faire annuler la demande de divorce. Je me sens obligée de vous prévenir que si on continue sur cette voix on risque de tout perdre. Dis je à ma cliente

-Dépouiller un des meilleures joueurs du monde ? Tentant. Mais je préférerais le garder pour
moi....

Une vrai conasse.

Oups je ne devrai pas dire ça. Mais avouez que c'est vrai non ?

-Dites moi ce que vous voulez faire et nous essayerons de faire de notre mieux.lui répondis je sur un ton un peu hautain

-Le dépouiller. Je veux une pension, je veux la moitié de ses biens, je veux des pourcentages sur tout ses contrats. Déclara t'elle

-Très bien. Mais je préfère vous prévenir ça risque d'être assez long.

-Tout ce temps sera dû temps ou je serai encore Madame Griezmann ? Me demanda t'elle

J'acquiesai. Elle m'horripilait.

-Alors nous sommes partis. Me dit elle.

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Je balançais mes dossiers sur le siège arrière de ma voiture. J'avais mal à la nuque alors j'entrepris de me masser un peu avant de démarrer lorsque j'entendais la porte passager s'ouvrir

-Je te dérange peut être ?

-Alors il n'y a plus de «  Monsieur » entre nous. Répondit le numéro 7 en posant son fessier proéminent sur le siège passager.

-Qu'Est ce que tu fais là Griezmann ? Soufflais Je assez tendu

-J'suis venu en taxi et j'ai la flemme d'en rappeler un. Alors vu que je t'ai aidé tu m'en dois bien une.

-T'as plus ton chauffeur c'est la crise ?

-Faut que je sois discret sur mes moyens sinon ma femme va me dépouiller.Il se rapprocha de moi pour parler à mon oreille. Mais le dit pas à son avocate surtout c'est un secret.

Son souffle dans mon oreille me remplit instantanément de frissons. Un rire m'échappa.

-Toujours aussi con.

-Toujours aussi sexy.

Sur ces mots je lui frappait l'épaule.

-Veuillez rester à distance professionnelle monsieur Griezmann.

Sur ces mots je démarrais et pris direction de l'hôtel de monsieur.

-Et tu sais plus conduire ? Demandais je

-Si. Mais j'suis pas venu en voiture à Paris.

-Ah d'accord.

Et un silence s'abattit dans la voiture.

Après quelque minutes il posa sa main sur ma cuisse.

-Tu fais quoi là ?? Lui crachais je

Il haussa les épaules Sans retirer sa main.
Alors j'entrepris moi même de la dégager.

-Fais pas style je t'ai pas manqué Cyn'

-Désolée les hommes mariés c'est pas mon truc. Lui répondis je

Il soupira et s'enfonça dans son siège.

-Et un petit conseil. Passer pour un connard arrogant ne t'aidera pas à gagner. Lui dis Je une fois arrivé devant l'hôtel

Il me sourit et claqua la portière. Je le regardais monter les marches. Pourquoi l'aidais je ?

Par contre Toujours aussi beau fessier

Je redémarrais mais j'avais aucune envie de retourner me coucher auprès de Pierre.

Je me sentais coupable, coupable de quoi Cynthia c'est ridicule.

Je retournais à mon boulot pour plancher sur ce dossier.

Selon mes estimations je n'allais pas reprendre une vie tranquille prochainement.

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