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J'étais au plus mal, j'avais fait mon choix et depuis un mois je n'avais plus revu Jared. J'étais venue me réfugié chez ma mère qui d'ailleurs commencé à trouver mon comportement de plus en plus bizarre. Et aujourd'hui elle avait décidé de me questionnais.

Mamanqu'est ce qui se passe ? Pourquoi tu restes aussi longtemps chez moi ?

— quoi tu n'as pas envie de me voir ?

Mamanmais si, Agnès tu es sûr que ça va ? Jared t'as fait du mal ?

Soupire — non, c'est votre histoire de vengeance qui me fait du mal.

Mamancomment ça ? Ne me dit pas q-

— et oui ! Jared est le fils de Rachid, son fils aîné.

MamanAgnès je suis désolée ma fille.. tu l'aimes Jared ?

— oui et devine quoi maman ! Il m'a dit qu'il ne voulait pas se mêler de ces histoires de vengeance pour être avec moi et moi.. j'ai refusé, je lui es clairement dit que je voulais voir son père mort enterré.

Ma mère était resté silencieuse. Je n'aimais pas ce silence, ça ne présageait rien de bon. Depuis que Jared n'était plus là, il ne m'arrivait que des problèmes que je n'arrivais pas à régler. Je n'arrivais toujours pas à être réaliste et à admettre le fait que sans Jared, je ne suis rien.

Je m'apprêtais à quitter le demeure de ma mère et avant de franchir la porte, elle m'avait retenue par le poignet.

Mamantu es grande, tu fais ce qui te semble bien pour toi, mais tu ne diras jamais que je t'ai jamais prévenue, Agnès.

J'étais heureuse, heureuse que ma mère dise enfin que j'étais grande et que je devais faire mes propres choix, mais la suite de sa phrase me faisait peur, j'étais partagé entre l'envie d'aller retrouvé Jared et la sage décision de rester chez moi.

Je décide tout de même de quitter ma mère pour aller me réfugié chez moi. La porte fermée à double tour j'étais sous pression je faisais les cents pas dans mon salon et une fois les idées en place, je compose le numéro de Jared et lui envoie un message n'ayant pas le courage de l'appeler.

Une heure plus tard, aucune réponse, aucun signe de vie ne m'avait été adressé de sa part. Mais la sonnerie de mon appartement avait retentit et je priais au fond de moi que c'était lui, et comme Dieu ne fait jamais les choses à moitié, j'ouvris ma porte sur un Jared souriant.

Jaredje l'ai attendu ce message, oh oui que je l'ai attendu.

— et tu l'as eu !

Je sauta dans ses bras et m'agrippais à lui, il m'avait affreusement manqué, tellement, tellement manqué. Nos lèvres se rencontrèrent et delà ça avait pris une toute autre tournure.

On était maintenant dans ma bedroom, j'étais sur Jared étaler sur mon lit. Il m'avait retiré mon débardeur et avait fait de même de son tee-shirt. La température augmentais à grand pas et aucun de nous deux ne voulait que tout ceci s'arrête. Il jeta alors ma petite culotte à l'autre bout de la pièce après l'avoir retiré.

C'était une sensation très horrible, mais au fil de ses vas et viens je commençais à y prendre plaisir. Nos corps chaud se frottaient l'un à l'autre et la douceur dont il me faisait part était tout bonnement parfaite. Je ne ressentais aucune douleur, nos regards étaient noyés l'un dans l'autre, et nos lèvres se touchaient à chaque va qu'il faisait.

C'était donc ça l'amour, l'amour corporelle. Notre petit combat ne dura pas longtemps par cause des préliminaires et à la fin de nos efforts, il s'était laissé tomber sur le lit à côté de moi. Je le regardais, son corps dénudé et la sueur qui ruisselé sur sa joue jusqu'à atteindre son cou. Je l'aimais, j'aimais Jared Bakari oh oui je l'aimais.

Il s'était endormi et j'avais fait de même après avoir pris une pilule.

[...]

Je me réveillais tout doucement et je me retourne du côté de Jared pour vérifié s'il dormais encore mais il n'était plus là. Une frayeur m'avait envahit, j'avais peur qu'il avait profité de moi, de ma faiblesse et de mon amour pour lui. Je l'avais chercher dans tout l'appartement mais aucune trace de lui ni aucune trace de ses affaires.

J'étais retourné dans ma chambre les larmes s'apprêtant à coulés, et c'est de là que j'avais pu remarquer un bout de papier plié en deux. Je l'ouvris et me mît à la lire.

— ce que moi je veux, c'est voir ta mère six pieds sous terre.

Jared m'avait eu, il m'avait piégé et il avait bien réussi son coup. Mes larmes coulés à flots, et à partir de ce jour, amoureuse ou pas : sa famille je voulais me la faire.

Agnès - Jusqu'à la haine [II]Kde žijí příběhy. Začni objevovat