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— voilà.


Je revenais des cours et retrouve mon père seul à la maison, ce qui est très bizarre.



Oh, moi, c'est Tara, j'ai 16 ans.



— tu attends quelqu'un papa ?



Papaoui, aujourd'hui, on va tout déballer ! Ça été les cours ?



— au calme, c'était comme d'habitude hein



Papaah gros




Je monte dans ma chambre et en ouvrant la porte je fixe la photo de ma mère, elle était tellement jolie.. Jasmine.. je n'ai pas eu le temps de la connaître malheureusement mais elle est entre de bonnes mains auprès d'Allah. Eh oui, à chaque fois que j'ouvre cette fichu porte, mes yeux restent bloqués un instant sur ce visage parfait. Maman..



Je me précipite dans les escaliers une heure plus tard quand j'entends la porte sonnée. C'était deux jeunes, un garçon et une fille.



— je vous en prie, entrez



Je m'écarte et leur laisse le chemin. J'appelle mon père qui descend deux minutes après et s'assoit sur son fauteuil favoris.




Papaj'adore ce fauteuil, je me sens puissant quand je m'assois dessus.



— mon Dieu écourte cette discussion



Papaje te présente tes cousins, Rahym et Paola


Paolaenchanté



— mes cousins ? C'est quoi l'enroule là ?



Papaje crois qu'il est temps pour vous trois que quelqu'un vous explique.




Je regardais mon père attentivement.



Papata tante Agnès a tué ta mère quand tu étais encore bébé, j'ai cru au début qu'elle me visait moi mais, cette connasse visait Jasmine. Rahym et Paola sont tes cousins, les enfants d'Agnès et Jared qu'ils ont conçu 7 ans avant qu'on les tues.



Je regardais mon père avec haine, et je ne savais pas pourquoi.



— quels sont leurs noms ?


Papaeux deux, ont pris Bakari et toi, Rodriguez. Ce qui est normal, ils ont pris leur père et toi ton père.



— si je pète un plomb maintenant, je risque de les tuer. Sortez.



Ils étaient rester assis. Très bien.



Démontue les !



Angereste calme.





— N'oublions pas que la femme de Rachid Bakari, est toujours en vie et qu'elle est rester silencieuse trop longtemps. Et que c'est deux là, sont des Bakari !




Mon père me regarde, et je répète cette phrase :


« On ne se débarrasse jamais d'un Bakari aussi facilement » - Rachid Bakari.





FIN

Agnès - Jusqu'à la haine [II]Where stories live. Discover now