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     Tout d'abord, pardon d'être autant morte durant ces grandes vacances. Je suis d'ailleurs surprise moi même, d'avoir si peu envie d'écrire alors que j'en ai tout le temps et -à peu près- les moyens. Petit moment nostalgique tout pété ; je me rappelle l'année dernière les soirées que je dédiais à créer de nouvelles couvertures ainsi que les idées qui émergeaient de mon esprit pour s'installer bien au chaud dans mes brouillons jusqu'alors, et qui n'y sortiront surement pas avant quelques années, principalement car je n'en ai plus la tête et que j'en ai supprimé la plupart -oops-. C'est d'ailleurs bientôt l'anniversaire de Sink, et celui de mes petites os sur les péchés capitaux, que je ne me suis jamais décidée à continuer. Je suis dans le regret d'avouer que je ne pense pas faire quoi que ce soit pour ces événements particuliers, et j'en suis plutôt désolée.

      Fini le ton solennel ( mauvaise manie après la longue lecture d'un livre qui était d'ailleurs les Hauts de Hurlevent -très bon livre bien que perturbant au passage- ), parlons peu parlons bien.

Il faut dire que j'essaye de me cultiver l'esprit pendant ces vacances pour rester un minimum productive, en attendant ma première année en 1erL. Lol je repousse ce moment autant que je le prépare.

      ALORS. Une gentille lectrice, en section commentaire alors que nous avions une agréable discussion sur les fictions hétéro et homo, m'a recommandé de lire une certaine histoire puisque je lui disais que j'étais plutôt curieuse de me remettre aux fictions hétérosexuelles. 

GRAVE ERREUR

    Voyez vous, je venais de terminer un chapitre des Hauts de Hurlevent, et était retournée dans ma chambre. Le soir je reste dans le noir pour pouvoir ouvrir la fenêtre et apprécier la fraicheur de la nuit sans craindre les moustiques. DONC voulant lire encore un peu j'ai entamé sa recommandation wattpadienne puisque je peux pas lire un livre dans le noir. ( THANX CAPTAIN OBVIOUS ). Donc bref sachez à quelle point ma déception a été grande en passant d'un superbe écrit de Emilie Brontë à... quelque chose de finalement 'j'ai mal de le dire car j'ai l'impression d'être vilaine' mais plutôt médiocre.

*tousse et prend son sérieux*

     Le début paraissait intéressant ou en tout cas un minimum prometteur. Le semblant de mise en page promettait du soin à l'histoire et l'écrit était plutôt agréable et fluide. Tout ca pour dire que j'étais plutôt intéressée, ou curieuse. Mais plus les chapitres et les phrases ont défilé, plus mes espoirs se sont vu prendre leur envol avec, face à une fenêtre une petite Error qui leur priait de revenir avec désespoir.

     Le début relatait le fait que la protagoniste avait ses parents ( sa mère et son beau-père plus précisément ) qui allaient faire le tour du monde sans elle. Le problème est qu'ils vendent la maison et en gros elle va partir cohabiter avec son frère jumeaux et ces cinquante colocataires tous plus baisables les uns autant que les autres. D'abord, j'ai tiqué. L'auteur avait donné aux personnages une image en particulier, un mannequin ou acteur/célébrité qui les représentaient et j'étais plutôt réticente car -j'abrège car j'en ai déjà parlé dans le #3- couper la liberté d'imaginer le personnage soi même et être hanté par la tête de monsieur Musclor durant toute l'histoire n'est pas agréable.

     J'avoue avoir pouffé en voyant en tant que beau-père de la protagoniste Dwayne Johnson aka The Rock. Bref j'avais trouvé ça plus comique que classe lol, et j'ai longtemps hésité avant de continuer ma lecture.

Pardon ?Where stories live. Discover now