esclave éternelle 5

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-Bien à nous deux maintenant dis-je en me rapprochant doucement.

-Quoi?  dit elle perturbée

-Crois tu que je vais te laisser t' en tirer si facilement? C' est mal me connaître dis-je un regard amusé.

En me rapprochant d'elle, je sentais cette attraction gravité de plus en plus fort. Je m' impatientais de ces baisers et mon regard s' attardais à la base de son cou.J' avais soif d' elle, et ce besoin devint pressant quand elle posa la main sur mon torse comme pour essayé de me repousser.

-Je te préviens Baden viendra et te tuera si tu me touche

-je le tuerai avant lui dis-je comme une promesse

Si elle avait voulu me tuer ou m'arrêté, elle l'aurait fais depuis que j' avais refermé la porte derrière moi. J'y étais presque, encore un peu et je toucherai ses lèvres, toucherai sa peau, je lui donnerai tous les plaisirs qu'elle souhaite. Elle résistait encore, mais pas assez même si je savais qu'elle ne comprenais pas pourquoi elle était peu rétisante à ce donner à moi, cela ne me dérangeais pas, elle était à moi.

Mon désir de la posséder et de la goûter fut plus forte que la raison, nos langues se livrait une danse endiablé, son toucher et ses carresses semblaient comme des supplices me tentant plus que jamais. Après avoir ôter mon t-shirt noir, je repris mon exploration, ses lèvres, son cou, ses seins parfait, son ventre plat, sa douceur, je voulais tout posséder. Elle me griffait dans le dos et de ses jambes resserrer autour de ma taille, elle m' invitait à continué. Sa temperature chutait, sa peau satiné de critaux de glaces la faisait paraître plus belle et nos souffle saccadé raisonnaient dans la pièce. Elle se laissait faire complètement et quand j' eu trouvé son intimité, j'y plongea avec plaisir pour y goûter son nectar. Elle  me rendait fou, comment pouvais-je désiré une femme aussi violemment? Ses mains dans mes cheveux, s' accrochait afin de ne pas perdre de pied.

-Continue.. supplia t-elle

-Ne t'en fais pas je te donnerai autant de plaisirs que tu voudras dis-je avant de retourné à mon jeu de langue.

J'avais envie de la prendre maintenant, de me sentir en elle, mais je voulais lui montrer tout l' étendu du plaisir et après lui avoir donner plusieurs orgasmes, je revins jouer avec ces seins ferme qui  ressemblaient à deux coupelle de glace exotique.

-Eden dis-je en chuchotant

Elle en frisonnait et ma température bouillante, me fit perdre l' intégralité de mon contrôle et mes dents se mirent à poussé. J' effleurait son cou, en faisant attention à ne pas la blessé et, sentais son poux battre juste au dessous de la zone  ou se trouvait mes dents. J'allais m' y abreuver lorsque brusquement on frappa à la porte.

-Nous devons y aller, nous devons surveiller la porte dit Nicolaï en s' éloignant tout de suite après

J' allais le tuer, oui c' est ça, sortir et le tuer pour avoir  interrompu ce moment avec ma compagne.

<ma compagne? ..>

à quel moment avais-je été aussi possessif au point de vouloir tuer? En croisant son regard, je ne pu que rester immobile. Elle fit un geste inattendu, elle posa délicatement sa main sur ma joue, sans cesser de m'observer puis descendit vers ma bouche pour effleurer pendant 2s mes dents.Par l' enfer!! j' avais  failli la mordre.En me relevant brusquement, je remis mon haut et sortit en vitesse de sa chambre. En rejoignant mes frères, je pus enfin me calmer.

-Alors votre pré lune de miel, ça c' est bien passer?  dit Grégory le sourire aux lèvres

Je lança un regard noir à Nicolaï et me retournant, je sortis mes armes vivement. Il y avait une présence.

-Quelque chose  approche dis-je vigilent

Un objet roulant jusqu'à mes pieds,

et le son strident sortant de l' appareil accélérant de plus en plus, nous fit déguerpir de là. Une grosse explosion retentit et nous destabilisèrent. Un gigantesque nuage de fumée et de poussière broullait  notre vue et toujours étourdi j' eu du  mal à sentir leurs présences et les coupures que m' infligeait leurs armes ne me facilitait pas la tâche. Ils  étaient trop nombreux, nous devions nous retirer, l'alerte avait déjà avertis tous le monde et d' autres guerriers allaient débarquer en renfort, nous devions tenir bon afin de les distraires assez longtemps pour qu'ils arrivent. À peine avais-je  repris connaissance, que de minuscules flèches se planta à différent  endroit de mon corps et que je perdis connaissance.

En ouvrant les yeux, j'étais suspendu à un crochet par une chaînes relié à chaque poignet. Je souffrais encore des blessures infligé lors de la bagarre et j' avais perdu beaucoup de sang. En observant mon environnement, je pris conscience que j' étais dans une vieille cabane abîmer et trouer à quelque endroit d' où filtrait les rayons du soleil. Ne m' étant pas nourris, ce fut dur de me décrocher et quand j' eu parvenu à mes fins, je retomba lourdement sur le sol, me brisant 1 ou 2 côtes. Instantanément les rayons me brulèrent atrocement et je me refugia à l'ombres près de matériaux usager.

<Ils m'ont sûrement laisser la pour être sur que je ne m' échapperai pas. Dans quelque heures, lorsque le soleil sera plus bas dans le ciel, ils reviendront me tuer.>

Je  me mis à chercher une solution dans ma tête et tentant un acte très très douloureux, je regarda dehors par un des trous en essayant de me focaliser sur le paysage et non sur l'  atroce brûlure qui me fit me reculer violemment à l' endroit d'avant. Par chance, c' était superficiel et malgré la guérison longue, cela ne me laisserai pas de séquelles.

<Les fils de chiens!!! Ils m' avaient laisser dans un putin de dessert! !!!!!>

il n' y avait rien à des centaines de kilomètres. Je n' allais pas abandonner aussi facilement, ils pouvaient revenir à n' importe quel moment. En m' adossant contre le vieux bois, je ferma les yeux et fit le vident dans ma tête. Après une heure, je les rouvris et balayant la pièce du regard, je trouvais une longue couverture, des bidons rouiller, des vêtements troué et déchirer, une pelle et un manche à balais.

esclave éternelleWaar verhalen tot leven komen. Ontdek het nu