esclave éternelle 6

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En regardant à côté de moi, du fil barbelé , d' autres bidons et un petit bidon d' essence moisissaient.

<génial...>

En y réfléchissant plus, je trouvis une idée assez dangereuse. Je pris vivement les vieux tas de vêtements, le fil barbelé, le manche à balai et la pelle. Je fis une croix avec les deux manche puis les lia du fil barbelé que je chauffa pour quel fonde et se solidifit sur le bois. Je mis un t-shirt rouge foncé, une pull à manche et enroula mes mains dans deux bande de tissu. En prenant la couverture, qui était parfaitement grande, je la passa sur les manches.En l' attachant au quatre coins des manches avec du fil que je fis fondre de nouveau, je remarqua qu'il fallait que je bricole encore à cause de la trop grande longueur des 2 bâtons. Après une demi heures j' avais  construit un assez grand parasol et le surplus de tissu, je le rajouta comme une cape attaché des épaules aux tibias par le fil fondu me faisant un grand et long manteau. Je couvris ma tête avec des morceau tissu et me mis en position pour partir.

<Je  dois suivre courir juste qu'a trouvé une ville>

J'allais ouvrir la porte, quand je me sentis étrange. J' avais l' impression qu' Eden avait besoin de moi.

< Non..je dois retrouver Eden>

Par déduction, je pu me localiser, il n' y avait qu'un seul désert dans cette région. Je calcula la distance entre la porte la plus proche et ne perdant pas mon temps je sortis de la cabane en courant le plus vite que possible vers la porte que je sentais. Malgré la protection, je cuisais à petit feu sous les vetements, et pendant des heures je failli mourir ralenti par un nuage de poussieres qui allait presque m'arracher des mains mon petit bricolage. À des kilomètres de ma destination, des léger fil de fumé commençais à s'échapper de mes vêtements.Je n' allais plus pouvoir tenir, mes yeux trop exposée avait été gravement brûlé et à présent je me dirigeait aveugle grâce à mon instinct. Mes os et mes articulations ne tenait plus, j' étais à la limite de la mort je tomba au sol le parasol me couvrant  entièrement. Il fallait que je me repose et la couverture m' offrait une casi protection qui avait amoindri mes brûlures.

<Eden..>

Puis je perdis connaissance. Des bras vinrent me soulever du sol et n' ayant récupérer aucune de mes forces, je ne pu lutter. Une voix de femme dit mon nom et tout devint flou jusqu'à ce que je sent un  matelas sous moi et des mains me retirer mes protections. À plusieurs endroit de mon corps, le tissu était rester coller aux brûlures et me tirait des hurlements de douleur. 2h après mon corps avait été désinfecter et bander  mais le processus de guérison lent n' aidait pas. j' avais l'impression qu' on m' arrachait la peau très lentement et on m' avais ligoter les poignets et les pied pour brider mes mouvements afin de ne pas rouvrir mes blessures. Ils avaient voulu me donner du sang, mais tout mon corps le rejetait, ce qui me donnait des convulsions. J'étais À moitié inconscient, cette fois la douleur l' emporterait sur ma guérison casis inexistante et je mourrai dans des cris déchirant.

Une main se posa légèrement sur mon torse et je sentais un froid revigorant pénétrer ma chair pour m' apaiser.

-Eden..dis-je d' une voix faible

-Je ne sais pas pourquoi, mais on a un lien, comme si c' était toi et non Baden qui m' était destiné..et je suis prête à croire que nous le somme dit-elle sincère. Lorsque que j' ai ressentis ta douleur et ta souffrance, je savais que je devais t'aider, ils ne voulaient pas mes laisser sortir et disaient qu'ils iraient te chercher le nuit tomber. C' était une véritable torture, mon cœur était broyé par l'inquietude et la peur de te perdre..

Je sentis ces lèvres sur les miennes, elles étaient rafraîchissante, douce et salé, elle avait pleurée. Je me fis violence et soulevant mon bras, lui caressa du dos de la main sa joue humide. Elle prit de ses deux mains la mienne et après avoir déposer un baisers, elle la plaça sur le lit doucement.

-Je vais t' aider dit elle déterminer

À peine avait-elle prononcer ces paroles, je sentis une odeur sucré, une odeur de baie rouge qui réveilla ma faim. En sentant son poignet contre ma bouche, et un liquide coulé le long de ma gorge, je sus qu' elle me donnait son sang. Il était exquis, d' une fraîcheur abondante et cet odeur qui m' enveloppait me revitalisais rapidement. J' en voulais plus, et ne me contrôlant pas, la main droite qu' elle venait de laisser s' étendre sur le lit, plaqua sont poignet encore plus fort.

-Tu peux en boire autant que tu veux dit-elle en se laissant faire

Je n' en revenais pas, c' était cela le sang de nos compagnes, je n' avais encore jamais goûter un telle sang!!   En voyant que son bras retomba sur mon torse en même temps que sa tête, je fus paralyser.

<N..Non!!>

Luttant contre la douleur je la plaça sur moi et m' ouvrit à l' aide de mes dent sortit, les veines. Je fis pareil qu' elle, mais elle n' avalait pas.

<Non ..non! !>

Je pris mon  sang dans ma bouche et le lui administra directement.

< Reviens!!>

Mon sang coulait dans sa gorge, je mis alors mon poignet contre sa bouche et après quelque seconde, je la sentis boire. J'étais soulagé, en l' allongeant sur mon épaules tout en ne retirant pas mon poignet, je l' entoura de mon autre bras et m' endormi épuisé.

En me réveillant, j' allais complètement mieux, mise à part mes yeux que je sentais encore endommagées. Elle était encore allonger près de moi et je le sentais, quelque choses avait changer, je persevais ces émotions, son souffle, son cœur qui battait au même rythme que le mien et un endroit chaud qui courrait sur le haut de son bras comme une marque ou un symbole. En enlevant mes bandages, je n' eu aucun mal à aller dans la salle de bain me laver.

esclave éternelleWhere stories live. Discover now