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Pdv_Meyron.

Je rentre dans l'appartement, j'suis fatigué ! Hier soir j'ai trop cogité par rapport à Farès et moi et la journée a été particulièrement longue,  j'avais trop de travail à faire, dieu merci j'ai pu to-.

Kurtis : Tiens.

Je le regarde choquer, pourquoi il m'offre un bouquet de fleurs là ??

Moi : Euh ??

Kurtis : C'est le livreur qui l'a ramené, va savoir qui te les a offert.

J'attrape le bouquet.

Kurtis : Vraiment n'importe quoi.

Je le regarde et il s'en va.

Je m'en vais dans ma chambre et balance mon sac sur mon lit avant de regarder si y a un mot avec.

Effectivement, je le prend.

« Je ne sais pas si elles vont te plaire mais je voulais quand même le faire, pour te demander une nouvelle fois pardon, je veux qu'on avance ensemble main dans la main et pour ça il faut que tu me pardonne donc compte pas sur moi pour arrêter de forcer mdr.»

Je rigole.

Il est même pas capable de faire une lettre comme les autres.

Je regarde le bouquet. J'suis pas trop fleur mais l'intention y est et ça me fait plaisir de voir qu'il fait des efforts, qu'il veut vraiment se remettre avec moi.

Je prends mon téléphone et l'appelle, il me répond au bout de quelques sonneries.

Farès : Allô ?

Moi : Bien ?

Farès : Un peu fatigué mais ça va et toi ?

Moi : Tranquille. Je viens de recevoir tes fleurs.

Farès : Quelles fleurs ?

Moi : Le bouquet.

Farès : Je vois pas de quoi tu parles.

Moi : Arrête de faire genre, je sais bien que c'est toi, tu sais même pas faire une lettre normal.

Il rigole.

Farès : Il te plaît le bouquet ?

Moi : J'suis pas trop fleurs mais merci, ça me fait plaisir.

Farès : Ah merde.

Moi : Tranquille, j'ai dis que ça me faisait plaisir. Merci.

Farès : Ah bah pas de quoi hein.

Je rigole, c'est trop bizarre là.

Moi : T'es où ?

Farès : Chez moi.

Moi : À la cité ?

Farès : Sur la lune.

Moi : Ah ouais ? Je peux venir après ? J'ai jamais mit les pieds sur la lune, c'est l'un de mes plus grand rêve.

Farès : T'es le bienvenue, tu verras, c'est un très bel endroit avec une vue juste magnifique, par contre prévoit de l'oxygène, je suis à cours de stock, je vais bientôt clamser.

Moi : Combien de temps il te reste à vivre ?

Farès : Je peux tenir jusqu'à 2 heures du matin mais sans toi, ça sera dur.

À2 Where stories live. Discover now