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Les pas continuaient à résonner quand d'un coup, je vis une personne devant moi, je me retourne et il y avait une personne derrière moi

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Les pas continuaient à résonner quand d'un coup, je vis une personne devant moi, je me retourne et il y avait une personne derrière moi. Je tourne la tête sur le trottoir d'en face et la silhouette était toujours la.

Diez.

Je commence à courir parce que ça commençait à devenir trop suspect.

J'arrive enfin à la ruelle en face de mon bâtiment. Je regarde derrière moi et il y avait personne.

Je me retourne puis je me sens tomber. Je venais de recevoir un coup de poing dans le visage qui m'avait sûrement cassé le nez.

...- De la part de Soraya.

La personne était cagoulée mais j'ai pu constater sur sa voix que c'était un gars.

Le gars retire un cuiter.

- NAN ARRÊTEZ ! JE VOUS DO...

La personne camoufle ma voix avec sa main. Je donnais des coups de pieds mais il les bloquaient avec sa jambe.

Je sens quelque chose me transpercer la joue.

- HMMMMMMMM !!

Il me donne ensuite des coups de pieds dans le ventre qui me paralysa.

Le gars part enfin, comme il était venu. Je saignais tellement que le sang avait coulé sur mon débardeur.

Je prend mon sac et continue de courir en me tenant le ventre. J'arrive dans mon bâtiment, je cours à mon étage, ouvre ma porte et la ferme à double tour.

Je monte dans ma salle de bain et constate les dégâts.

Ça me faisais vraiment mal, car je pleurais et les gouttes salées coulaient sur ma blessure.

Je prends ma boîte de secours et prends l'alcool. Je prends du coton et ajoute de l'alcool.

Je compte jusqu'à 3 puis mets le coton sur ma blessure.

- AHHHHHHHHHHHHH MAMÍ, ÇA FAIT MAL.

Je pleurais vraiment beaucoup. Ça me saoulait. Je mets un pansement, il prenais tout mon visage, puisque la blessure partait de ma joue à ma bouche.

Je me pose sur la cuvette des toilettes. Je monte mon débardeur et mon ventre avait plein de bleus. Je passe une pommade 🧴 qui soulage dessus.

Quelques minutes plus tard, je décide d'aller me doucher. Ensuite de dormir, avec tout ce qui c'est passé, je n'avais pas faim ou du moins, plus faim.























D Ī L A N













Ciudad Juárez, Mexique
11:33

On arrivent enfin devant la maison où j'ai passé mon enfance. J'ai passé mon enfance à jouer avec les armes et à esquiver les balles.

Il y avait beaucoup de gardes, chacun avec leur armes. A47 pour être plus précis, berreta derrière le pantalon.

José - Vous nous avez manqué Mr. Dīlan.

- Oui moi aussi. Elle est rentrée maman ?

José - Oui.

Je lui fais un signe de tête et on rentre.

Je vois Miranda. Notre femme de ménage, qui est la depuis mon enfance.

- Ça va 𝑀amí ?

Miranda - Mi hijo, bìen y tu ?

- Bìen.

Je lui embrasse le front et sors de la cuisine pour aller dans le salon.

Brako - J'avais oublié comment c'était barricadé ici, tema même les poissons ont des fusils wesh.

Je rigole.

- Trop bête.

...- Il est devenu beau et grand mon fils.

Je regarde à l'étage et vois mon père. Toujours avec son arme et son verre de Tequila. Et toujours accompagné de Jūan Carlos, mon oncle.

- C'est bien pour ça que t'es mon père non ?

Papa - Pas faux

Mon oncle - Toujours aussi narcissique, mon neveu.

Papà- C'est de famille.

Mon père c'était l'ancien chef de Ciudad Juárez et vu qu'il se faisait vieux, il me l'a légué.

Il arrive en bas et viens me faire une accolade.

Papa - Ça va Fiston ?

- Bien et toi papá ?

Papa - Toujours.

Comment vous dire que Brako, a peur de mon père.. 😭😂 A savoir pourquoi, je sais pas.

Papa - Brako et toi ?

Brako - J..je vais bien et vous?

Papá-  Toujours .

- Elle est là maman ?

Papá- Dans sa chambre.

- Je vais la voir. Brako tu veux venir?

Brako - Euh ouais j'arrive.

Papá- Elle est ou ta soeur ?

- Avec Miranda

Papá- D'accord.

On montent et j'appelle l'ascenseur. L'ascenseur arrive, on rentre et les portes se ferment.

Brako - Putain, j'avais déjà oublier comment ton père me faisait peur.

- T'es chelou toi.

Brako - C'est toi qui est chelou.

Les portes s'ouvrent et on sors de l'ascenseur.

Je me dirige vers la chambre de ma mère. Je toque.

Maman - ENTRAR !










M.

M A L I Y A H (EN CORRECTION)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant