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On montent et j'appelle l'ascenseur. L'ascenseur arrive, on rentre et les portes se ferment.

Brako - Putain, j'avais déjà oublier comment ton père me faisait peur.

- T'es chelou toi. Depuis tout petit t'as peur.

Brako - C'est toi qui est chelou.

Les portes s'ouvrent et on sors de l'ascenseur.

Je me dirige vers la chambre de ma mère. Je toque.

Maman - ENTRAR !

Once.

J'ouvre la porte et vois ma mère coucher sur son lit. Une infirmière était entrain de la soigner.

Elle se tourne et me vois.

Mamà - Mis hijos, mis hijos. Amanda, puedes darnos unos minutos por favor.
Mes fils, mes fils. Amanda, tu peux nous laisser quelques minutes s'il te plaît.

Amanda - Sí, señora.

L'infirmière sort et referme la porte.

Je m'approche de son lit et lui fais un bisou sur le front avant de m'assoir à côté de son lit.

Brako lui embrasse la tempe et s'assoit à son tour.

Brako - Comment tu vas mamà ?

Mamà - Bìen, toujours ce dire qu'il y a pire, mi hijo.

Les parents de Brako étaient amis avec les miens. Et un jour, mes parents ont été leur rendre visite et c'est la qu'ils ont découvert Brako remplis du sang de ses parents, agenouillé dans le salon.

Ses parents étaient morts lors d'une fusillade et c'est en rentrant de l'école qu'il a vus ses parents morts dans leur salon.

Après ça, mes parents ont décidés de le prendre. Ma mère c'est la sienne ainsi que mon père.

- Il s'est passé quoi mamà ?

Elle soupire.

Mamà - Estaba saliendo del trabajo cuando tres coches me rodearon. Había un hombre en particular que había ordenado apuñalarme. Lo único que recuerdo son los gritos.

Je sortais du travail quand trois voitures m'ont encerclé. Il y avait un homme en particulier qui avait ordonné de me poignardée. La seule chose dont je me souviens c'est d'avoir crier.

Je la regarde dans les yeux, elle allait pleurer enfin, elle pleurait déjà.

- Bésita, deja de llorar, nosotros nos encargaremos.
- Bébé, arrête de pleurer, on va s'occuper de ça, d'accord ?

Mamà - Non Dīlan, ne t'occupe pas de ça. Je ne veux Pas que quelque chose de grave vous arrive.

- T'inquiète pas maman.

Je prends sa tête entre mes mains et lui fait un long bisou sur le front.

...- Ne me voles pas ma femme non plus.

Je me lève et rigole.

- C'est ma mère aussi.

Mamà - Laisse mon hijo, j'en ai marre de voir ta cabeza.

Papà - C'est comme ça maintenant, Kataleya ?

Ma mère se mets à rigoler. Tout pour son sourire.

Je lui fais un dernier bisou et Brako de même.

Mamà - Vous pouvez dire à Luna de venir s'il vous plaît ?

J'acquiesce et on sort de la chambre en fermant la porte.

- LUNA !! MAMÀ VEUT TE VOIR !

Luna - ¡ YA VOY !
Luna - J'ARRIVE !

On descend et on part sur le balcon suivi de mon père.

Papa - Vous repartez quand ?

Brako - Demain.

Papa - D'accord, je vais envoyer Diego faire des recherches sur l'homme qui a poignardé votre mère, puis vous allez poursuivre le travail.

Brako/moi - Ok.

Papa -Sinon, et vos copines ?















M A L I Y A H



08:34

Ce matin, je me réveille avec un mal de tête. Je pouvais pas aller travailler, car j'avais vraiment mal et de plus je n'avais pas de maquillage pour camoufler mon immense cicatrice. J'avais tout aussi peur de sortir.

J'ai appelé ma patronne et je lui ai dit que je ne pouvais pas venir et d'ailleurs elle m'a même donné un congé de 2 semaine.

Je souffle et part dans la salle de bain, j'examine ma cicatrice qui n'avait même pas bien cicatrisé.

Fallait que je passe à la pharmacie, mais j'avais vraiment peur de sortir.

Je sors de ma salle de bain et pars dans la cuisine. Je prends une boîte de céréales et part m'installer sur le canapé.

Enfin de compte, je mange juste pour ne pas faire de crise mais en réalité je n'avais pas du tout faim.

Je repars dans ma chambre pour me rendormir car ma tête me faisait extrêmement mal.

12:34

Je me fais réveiller par une sonnerie, quelqu'un était en train de sonner.

Et j'essaie de me rendormir, en pensant que cette personne allait partir, mais elle continuait de sonner.

Quelques secondes plus tard je reçois un message de Samah (voir partie 2).

















M.

M A L I Y A H (EN CORRECTION)Where stories live. Discover now