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-Dimanche 22 Septembre, Kingston Upon Thames : Appartement de Tom, 14:35- Tom Holland :
Je suis dans ma cuisine. Pourquoi ? Camille est venue toquer il y a cinq minutes pour qu'on fasse un gâteau ensemble, j'ai pas trop compris pourquoi mais si elle en a envie, ça ne me dérange pas.
« - Il te faut quoi, chef ?, demandé-je en arrivant derrière elle, je pose ma main gauche sur sa hanche et me poste de son côté droit.
- Umh..., elle rougit. Il me faut deux-cents grammes de chocolat noir, si tu en a pas, j'en ai. Cent grammes de beurre, cent grammes de sucre, cinq œufs et quatre cuillères à soupe de farine, me sourit-elle. »
Je me détache à contre coeur de son corps chaud pour prendre tous les ingrédients. Miraculeusement je les ai tous.
En me tournant vers elle, son teint est pâle et elle tient son ventre.
« - Tu vas bien Cam' ?, demandé-je précipitamment.
- Oui, ouais. Ce petit bonhomme a juste l'air de bien s'amuser, elle me sourit et me prend la plaquette de chocolat qu'elle dépose en carré dans un bol avec le beurre. Où est ton micro-ondes ?
- À ta gauche, je ne la lâche pas du regard. »
Je la regarde faire quelques secondes, son ventre bien arrondi lui va à merveille, ses yeux marrons brillant à longueur de journée et encore plus quand elle parle de son enfant nous montre qu'elle l'attend vraiment avec impatience. Ce que je peux comprendre, le seul problème qui me chagrine un peu avec Camille c'est qu'elle ne m'a toujours pas dis où est le père, pas que j'y porte un grand intérêt, je sais bien que je ne le rencontrerais jamais, en trois moi je ne l'ai jamais vu, mais j'aimerais vraiment avoir une réponse à cette question. Car si elle est en couple, je pourrais jamais envisager quelque chose, j'ai embrassé Camille alors que j'étais avec Ella, et si elle aussi était en couple, je ne crois pas pouvoir me le pardonner.
Je n'ai pas peur de ce que je ressens pour elle, je l'aime. J'en suis sure, Haz' et Z m'ont beaucoup aider à réellement comprendre ce que je ressentais. Et j'ai tout le temps envie d'être avec elle, d'être avec cette femme qui attend un enfant. Je sais déjà que si elle est célibataire j'assumerais cette enfant, je l'élèverais comme si c'était le miens, tout simplement parce que j'ai été la, lors de la grossesse que ça maman aura vécu seule.
Camille finit le gâteau et le met au four, son regard passe sur moi.
« - On pourra le manger dans une vingtaine de minutes. »
Elle me sourit et part s'asseoir sur mon canapé, j'allume la télé et met une chaîne du musique en fond. Camille s'assoie en tailleur et tourne son buste vers moi. Je fais de même. Elle a l'air de réfléchir.
« - Donnes-moi tes mains, dit elle en souriant.
- Pourquoi faire ?, demandé-je méfiant.
- Tu me fait confiance ?
- Oui mais-
- Alors donnes-moi tes mains, elle me sourit chaleureusement. »
Je lui donne donc mes mains qu'elle pose sur la petit bosse de son ventre, le petit garçon a l'intérieur donne de petits coups de pieds sur celui-ci. C'est la première fois que je le sens réellement bouger sous mes mains, ça me fait sourire bêtement.
« - Alors ?, demande t-elle.
- C'est complètement magique, dis-je plein d'étoiles dans les yeux, elle rit et me prend dans ses bras. »
Elle finit pas s'écarter en rougissant.
« - Pardon..., s'excuse t-elle.
- De quoi ?, dis-je, j'ai décider de l'embêter un peu.
- De t'avoir pris dans mes bras, c'est sûrement les hormones, pouffe t-elle.
- Je pense pas que ce soit les hormones, tu en avais juste envie, il n'y a aucun mal à ça, elle rougit encore plus en détournant le regard.
- Eh, de mon indexe je fais sa tête tourner vers la mienne. N'arrêtes jamais de me regarder, d'accord ? J'aime te voir rougir, dis-je en souriant. »
Comme des aimants nos deux visages se rapprochent dangereusement.
Malheureusement avant même que j'ai re goutter ses lèvres sucrée, la sonnerie du four nous sors de notre transe.
« - Desolé, dis-je.
- Si je dois continuer à te regarder, alors arrête de t'excuser pour quelque chose que tu avais envie de faire, dit-elle. »
J'hoche la tête.
"T'excuses pas si tu en avais envie", m'avait elle dit lors de notre premier bisous.
Eh bien je ne m'excuserais plus.
「Wowowo ! J'ADORE ce chapitre mdr. C'est niais je trouve ptdr.
