chapitre 8

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Votre Altesse, je fais tout mon mieux pour que la paix règne en Misra, et que  notre chere pharaon Hachepsout guéri lance je d'une voix moqueuse.

-Vous vous tromper Senmout, je suis desormais le Pharaon de Misra . énonce il d'un air hautain . Et ton pharaon  aussi. termine ce maudit freluquet .

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PDV Anna:                                 29 jours

Ses larges mains,posées sur mon corps se crispent, je sens tout son corps se tendre, il est évident qu'il ne s'entend pas avec ce gras là, qui ne cesse de me reluquer sans gêne.

Je pense qu'il est le fils du Mari de Hachepsout. D'après mes études sur cette famille royale, Hachepsout tombe malade et meurt, et après le fils, de l'ancien pharaon Touakiss, d'une autre femme qu'elle, succède au trone.

Le dénommé Pharaon nous quitte sans un mot un maudit sourire narquois collé sur ses lèvres.

-Peux-tu me laisser maintenant. râle je avec lassitude.

Il opine et me met debout sèchement. Il est encore tendu après son échange houleux avec le grand brun.

-Entres jeune femme. m'ordonne il d'un ton froid.

Je ne cherche pas à le contredire et je franchi le seuil de l'imposante porte de bois rouge. Je promène mon œil dans la pièce, je reste totalement épatée en regardant la splendeur de la pièce aussi somptueuse que le reste du palais où je me trouve. La chambre est trois fois  fois plus grande que mon  appartemant, un grand lit trône au milieu de la pièce . Je reste totalement ébahie regardant les meubles luxueux, luisants sous la lueur  orangée divine des torches, et des énormes bougies.

-Tu resteras debout pour longtemps. se moque l'égyptien .

Je soupire d'agacement et je lui lance mon regard le plus noir et j'avance vers le grand lit , je m'affale mollement sur le confortable matelas et fixe les charpentes du plafond laissées en relief, qui sont décorées d'une profusion de sculptures  hiéroglyphiques.

Les yeux clos je songe à ce que c'est devenu ma pitoyable vie. Quelques heures plutôt, je croyais que j'étais morte et maintenant je me rejouis du lit agréablement moelleux de  Senmout. Je ne sais pas  quoi faire, devrai je l'aider ou me venger ? La culpabilité me ronge toujours de l'intérieur, je me cupabilise encore pour leur mort, je ne peux pas laisser de côté qu'il est un vrai monstre de cruauté. Mais je ne dois pas oublier aussi que je disparaîtrai si je ne l'aide pas. Je ne me deciderai pas à cela avant d'avoir mûrement délibérée.

J'ouvre mes yeux, et m'accroupis sur le lit qui s'affaisse légèrement sous mon poids.

Je regarde, l'esprit lourd, le jeune égyptien qui regarde depuis la fenêtre. Je me lève et j'avance vers lui.
Je ne peux pas nier qu'il est un beau gars, avec son corps digne d'un dieu grec, ses cheveux noir ébène, ses  yeux sombres qui reflètent la noirceur de son âme et ses lèvres charnues légèrement rosie. Son visage me semble familier mais je sais pas où je l'ai vu avant.

Il semble trop absorbé par son méditation qu'il ne me remarque pas. je m'éclaire la voix pour attirer son attention . il me lance un regard furtif et se concentre de nouveau sur la fenêtre. Il m'invite d'un geste de main de le rejoindre auprès de la grande fenêtre, je ne le contredis pas et je le rejoins trop curieuse de savoir comment est  la ville en plein nuit.

La grande baie offre une vue époustouflante sur les constellations surplombant le ciel sombre. La voute étoilé est à couper le soufle.

-On dois parler aknemestré

L'élue de Senmout ✔️Où les histoires vivent. Découvrez maintenant