Après avoir refermé rapidement le portail derrière eux, j'étais retourné au poste de travail que l'on m'avais attribué. Aussi peu intéressant soit le travail que l'on me donnais ici au moins je pouvais faire quelque chose, au cas où la situation évoluait.
Je continuais d'observer les caméras. Au-delà de toutes cette armée qui se pressait vers les bateaux, je voyais des femmes et des enfants vivres comme nous. Comment pouvions nous nous faire la guerre ainsi. Sa n'avais aucun sens. Mais la chose que je redoutais le plus, c'était qu'elle se serve encore de ma voix. Mais je n'avais pas vraiment le choix, si je ne voulais pas éveillé les soupçons. Que pouvais-je bien faire maintenant pour m'occuper, le travail qu'ils m'avaient fourni avais suffit à m'occuper deux misérables jours. Il n'y avait qui plus est, plus personne à surveiller sur les écrans maintenant que la fille et ses amis étaient sortis de la ville. J'avais déjà vu le balais de la vie quotidienne des gens qui sont ici et il n'y a vraiment pas de quoi y rester des heures. Les journées sont ici aussi répétitives que celle dans les villes humaines.
C'est alors que me revient en mémoire le livre avec le nom de mon père que j'avais trouvé. Après tout je devais bien avoir le temps de retourner à ma chambre, je m'ennuyais comme un rat ici, je n'étais même pas sur qu'ils fassent bien attention à ma présence ici. Mon abscence passerait sans doute inapercut. Je récupérais ma veste sur mon dossier et quittais le bureau. Il y avait quelque personne dans l'immense salle vitré mais personne ne semblas me porter la moindre attention, et j'ateignis la porte sans que personne ne me pose de question. Je me faufilais dans les grands escalier. Je m'essayais alors au vol pour les descendres plus vite. Percevant d'abord toutes les molécules qui m'entourais, je pris le temps de les aprivoiser et dans comprendre la subtilité. Les propirétés de l'air de chaque endroit varait le comportement de toutes ses molécules. Cela pouvais aussi bien influer sur leur vitesse de déplacement, ou bien leur taille, en fonction du taux d'humidité. Elles s'avéraient ici étonement grosse ici, je ne savasi pas quelle était les propriétés de ce milieu mais il n'y avais qu'un taux d'humidité très faibles ici.
Le premier essai à mon agréable surprise fut le bon. D'abord lentement, j'accélérai rapidement, je ne vis alors pas les escalier défiler. La friction des molécules de l'air contre celles de mon enveloppe corporelle produisit une chaleur très agréable réchauffant légèrement mon corps. Les couloirs qui suivirent ce qui ne m'avais semblé être qu'une volé de marche, avait l'air réchauffé. Le chemin jusqu'à ma chambre ce fit plutôt tranquillement, sans que je ne croisa personne. La porte s'ouvris facilement devant moi. Un repas était déja posé sur la table, mais je n'avais pas faim. J'observais l'horizon ou le soleil brillait, j'aurais aimé voir au-delà de ce bouclier artificiel. Mais rien n'y pouvais, comment pouvais-je faire état de cette ville. Il me fallait un plan pour m'échapper. Mais comment pouvais-je à la fois être dans un des bateaux et actionner l'ouverture du portail pour sortir.
Une petite boule de poil vient me tirer de mes pensées. Sans m'en rendre compte j'étais rester debout à l'entré de ma chambre et je fixais le mur en face de moi.
Je le prsi alors dans mes bras, et m'asseyais sur le bord de mon lit. Il alla tous seul se lover au creux de mes jambes et se mis à ronronner. Les petites vibrations qu'il me procupait appaisais toujours mon esprit. Cela me fit me souvenir pourquoi j'étais revenu dans ma chambre; pour analyser se fameux carnet. Mais si je me levais je risquais de réveiller le chat. alors je me laissais tomber en arrière sur le lit.
Après quelque minutes il bondit par terre pour aller se mettre sur la barrière du balcon et lui aussi observer la magnifique vue qui s'offrait à nous. J'en profitais et récupérais le livre dans le tirroir à côté de mon lit. Je m'asseyais ensuite en tailleur sur le lit pour essayer de decelé le moindre mystère qui me permettrait de rendre le texte qui visiblement avait été camouflé. Mais j'avais beau le tourner dans tous les sens, inspecter chaque grain de papier sur chaque pages du livre, rien n'y faisais, il n'y avais rien dans ce livre qui puisse m'aider. Même la couverture qui était doublé était intacte, pas le moindre plis ou recoins qui aurait pu cacher quelque chose. Je faisais face à un problème insouluble, dont je n'avais même pas les données.
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Ascartha
Science FictionCouverture faite par : BecauseIlikeIt1999 La copie et les utilisations partielles ou totales de se travail sont interdites; conformément aux articles L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle. Toute copie est punissable par la loi.