Kinktober 2019

Jour 17 : Lap dances / Scars

Thèmes du jour :
Boot worship / Lap dances / Scars

Je venais tous les soirs la voir dans ce club de strip tease. Jusqu'à présent, je me contentais de la regarder depuis le bar. Je savais que je dénotais pas mal dans cette ambiance très masculine. Mais certains types avaient tenté de m'approcher les premiers soir, ils avaient vite abandonné. Je faisais presque partie du décor maintenant.

Mais ça ne me suffisait plus. J'avais besoin de plus. Alors, je finis par prendre mon courage à deux mains et demandai au barman si Cali faisait aussi des shows privés. Plutôt que de me répondre, il me servit un sourire et fit signe à un homme qui se tenait à côté d'une porte. Arrivé à notre hauteur, le barman lui expliqua :

— La demoiselle voudrait une séance privée avec Cali.

L'homme, qui faisait certainement partie de la sécurité, me jaugea de haut en bas et m'indiqua finalement de le suivre dans un grognement. Je ne me fis pas prier.

— Attends ici, dit-il en me forçant presque à m'asseoir sur une banquette en cuir avant de repartir.

Le rideau s'ouvrit quelques minutes après et Cali apparut devant moi. Elle referma le rideau derrière elle et s'avança vers moi de sa démarche lascive.

— Tu connais les règles chérie ?

— Euh... Je... C'est la première fois, bégayai-je.

Cette fille avait le dont de me faire perdre tous mes moyens.

— C'est très simple : tu regardes autant que tu veux, mais tu ne touches pas, à moins que je t'y invite. Tu peux me demander de faire des mouvements en particulier, mais je suis la seule à décider si je le fais ou non. La danse dure vingt minutes. Des questions ?

Je secouais la tête. Elle tendit la main et je la regardai sans comprendre.

— On paie d'avance, ma bichette. C'est dix euros.

Un peu gauche, je parvins à sortir un billet et lui tendis. Elle le glissa dans son soutien-gorge que je parvenais à voir en partie sous son crop top à dentelles. Elle commença à danser et ses vêtements disparurent rapidement, la laissant en soutif, string et porte-jarretelles. Ses talons faisaient que j'avais le visage à parfaite hauteur pour profiter de la vue de ses petit seins.

Elle s'approcha jusqu'à être à cheval au-dessus de mes jambes, me laissant tout le loisir de détailler son corps et sa peau. Elle avait de nombreuses cicatrices au niveau des bras et des cuisses. J'en avais déjà remarqué dans son dos. Mais ça ne me dérangeais pas. Je l'acceptais telle qu'elle était.

Au bout des vingt minutes, je savais que je reviendrai désormais chaque soir pour une nouvelle danse privée. Cela allait me revenir cher à la longue. Mais je n'en avais cure. J'étais tout simplement accro.