Chapitre 61

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Dina : C'est elle...

Dina : ... Je l'a reconnais, se sont les yeux de maman.

Lisa : De qui tu parles Dariella? mais c'est impossible tu le sais bien.

Dina : Non Daphné.

Matt : Princesse tu délire encore, ca fait plus de 10 ans que tu ne l'as pas vu, tu étais encore qu'une gamine quand elle a fuguait. Comment tu pourrais la reconnaitre?

je me met à hurler en me réfugiant dans le club je dois en voir le cœur net.

Dina : C'est elle. J'en suis sure.

Quand je pénètre dans le club, je me rend compte que le concert est terminé, je cours en direction des coulisses. Je vois Adam et Colin mais pas cette fameuse Doris.

Dina : Ou est elle?

Les deux hommes me regardent étonnés.

Dina : Ou est votre basiste?

Colin s'approche de moi.

Colin : Calme toi chaton, dit moi se qu'il y a?

Je ne lui répond pas je dois retrouver cette femme.

Lisa et Matt viennent vers nous, et expliquent la situation à Colin et à Adam. pour ma part je quitte précipitamment les coulisses à la recherche de Doris. Je scrute l'horizon. Rien. Je tente ma chance vers les toilettes. Je la vois enfin en compagnie, du sale type qui a probablement droguée Lisa, le soir ou j'ai assister pour la première fois au concert de Colin. Il lui tend un petit sachet de poudre blanche. Je me doute de quoi il s'agit, et je repense aux paroles de mon amie une heure à peine auparavant. A cet instant je ne réfléchie plus j'interviens.

Dina : Garde ta merde pour toi connard.

Doris : Mais qu'est ce qu'elle nous veut la bourgeoise? Aguicher un rockeur ne lui suffit pas, elle a besoin de sensations fortes?

Doris s'approche de moi, me cale contre le mur avec un aire menaçant. Elle me bloque le bras sous la gorge. Elle est beaucoup plus forte que moi meme si j'ai peur je ne ferai rien contre celle que je pense etre ma sœur. Je vois le sale type fuir à l'arriver de mes amis qui nous rejoignent. J'entend Colin hurler.

Colin : DORIS, LACHE LA.

Elle n'en fais rien, je le regarde droit dans les yeux, son visage et a quelques centimètres du mien. Je lui murmure:

Dina : Daphné, c'est moi. Dina... 

Doris : Bébé?

Je hoche la tète pour confirmer, bébé était le surnom que m'avaient donné Daphné et Dariella comme j'étais la petite dernière, le bébé de la famille. Elle lache sa prise, s'écroule à mes pieds et fond en larmes. Je m'accroupie devant elle, et la prend dans mes bras. Sous l'air ébahi de nos amis.

Après Les PleursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant