Hugo et Lionel : Jour 14

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Les deux frangins sont assez contents de ne plus avoir à se cacher pour se masturber. Évidemment, maintenant qu'ils ont brisé ce tabou, plus facilement qu'ils ne le pensaient, ils consacrent une bonne partie de leurs journées à jouer avec leurs sexes. Hugo se laisse même mater par son frère quand il fait des cochonneries virtuelles avec sa femme, sans qu'elle le sache.

– T'as l'air fasciné par ma queue, frangin.

– Ouais, je...

– Allez, on peut se confier maintenant, on est déjà allés assez loin.

– Non, ce que je vais dire est bizarre.

– On est en train de se masturber côte à côte, de quoi tu pourrais avoir honte ?

– Ta queue ressemble vraiment à celle de notre père.

– Venant de toi, je le prends pour un compliment puisque tu fantasmais sur lui. Par contre, désolé, tu pourras pas sniffer mes boxers.

Simplement parce qu'ils vivent maintenant à poil en permanence.

– En fait, tout ton corps ressemble à celui de notre père.


Ils continuent leur masturbation en silence. Lionel a du mal à savoir ce que pense son frangin, finalement ils ne peuvent peut-être pas tout se dire. Il faut se rappeler qu'Hugo est hétéro, et ces derniers ne veulent pas tout savoir.

– Tu aurais fait quoi si t'avais eu l'occasion d'aller plus loin avec papa ?

– On va pas remettre ça.

– Désolé, ça m'intrigue, je veux savoir. Imagine que je suis notre père. On est là, nus, qu'est-ce que tu lui ferais ?

– Ma plus grosse envie était de lui palper les couilles.

– Fais-toi plaisir.

Hugo écarte les cuisses et laisse pendre ses gros testicules poilus. Hésitant un peu, Lionel finit par poser sa main dessus et se met à les caresser.

– C'est bon, frangin, continu. Qu'est-ce que tu aurais fait ensuite ?

– Je serais venu les sniffer.

Un seul regard et Lionel comprend que le délire peut continuer. Il se met à genoux et fourre son nez dans les testicules de son frère.

– Qu'est-ce que tu sniffes, en fait ?

– La bonne odeur de mâle.

– Je me suis pas lavé depuis deux jours.

– C'est ça qui est bon.

– L'odeur de couilles t'excite ?

– À fond.

– Alors respire et branle-toi.

Grâce à cette mise en scène, ils éjaculent assez vite.


Après chaque éjaculation, chacun retourne devant son ordinateur pour bosser. Ils sont normalement en télétravail. Mais il ne s'écoule que deux heures avant qu'ils ne se retrouvent sur le canapé, à nouveau excités.

– On continue notre petit jeu pervers ?

– On dirait que ça t'excite.

– J'ai pas baisé depuis plus d'un mois, tout m'excite frangin.

Lionel reprend donc sa position, le nez dans les testicules de son frère.

– Tu avais envie de le sucer ?

– Oh oui, je voulais prendre soin de lui, lui donner du plaisir.

– Montre.

Hugo tend sa queue en direction de son frère. Il commence à lécher.

– Ouais, t'aimes ça, la mouille. Prends-la en bouche.

Lionel s'applique à commencer une bonne fellation.

– Punaise, c'est super chaud de voir mon frangin pendu à ma bite.

Hugo se laisse totalement faire. Il joue avec ses tétons pendant que son frangin lui donne du plaisir.

– T'avais envie d'avaler le foutre de notre père ?

Lionel ne se retire pas, il garde cette grosse queue en bouche et fait oui de la tête.

– Suis chaud, prends tout frangin.

La fellation dure quand même encore un bon quart d'heure avant l'explosion. Rapidement, Lionel avale tout. Il ne se retire pas. Il continue à aspirer le gland et à tourner sa langue. Une véritable torture pour son frère qui se tortille dans tous les sens et essaie de le repousser.

– T'es un porc, frangin.

– C'est toi qui viens de m'inonder la bouche.

– T'as avalé le sperme de ton frère !

– C'est le meilleur foutre que j'ai jamais goûté.

– T'es dégueulasse.

La réaction d'Hugo est normale, l'excitation vient juste de passer. Pourtant, il va nourrir son frère plusieurs fois, rien qu'aujourd'hui.

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