Chapitre 13 : Et de deux.

9 0 0
                                    


- <<Peatar vous êtes un homme ambitieux et intelligent ... je sais que vous saurez agir dans le sens de vos  intérêts . >>

Le sous Directeur avait cette phrase de Gorbatchev en tête lorsqu'il pénétra dans le bureau d'Arnold le matin de sa mort .
Il devait juste placé Ce micro à l'insu de son supérieur dans le bureau . L'appareil était d'une taille comparable à une Nano puce . Il n'aurait qu'à le laisser sur le meuble et il passerait inaperçu .

C'est ce qu'il avait cru .

La secrétaire l'ayant annoncé.

Il était entré. S'était assis avait deviser normalement avec Le Directeur . Jusqu'au moment où il fit mine de vouloir saisir un stylo sur le bureau afin de noter une remarque qu'il avait soit disant trouvée pertinente .

Son supérieur   convoqua alors  la secrétaire Et lui avait donné sa journée .
Lorsqu'il  voulu prendre congé à son tour , Arnold l' escorta jusque devant la porte ...
puis lui  tendit le micro :

-Vous avez oublier ceci Peatar ..
Le regard Hagar , il avait à peine eut le temps de balbutier une réplique que l'autre l'avait saisi par le col ...
Il lui assénant  un formidable coup de poing qui le projeta à terre inconscient.
Quand il s'était réveillé. Il était ligoté et privé de parole .
Il mourut sans pouvoir se justifier .

...

Il était 19h par là ...Marie ne rentrerait pas Avant trois heures . Il avait le temps .
Arnold composa le numéro de la jeune lycéenne.

Elle décrocha et acquiesça .
Conformément aux instructions reçues , elle le retrouva au Ritz Carinton de Moscou .
A l'accueil elle demanda Medvedev.
On lui donna la carte d'une suite pour invité de marque .
Elle prit l'ascenseur et monta jusqu'au onzième .

Devant la porte elle inspira profondément .
Qui sait Si un homme ligoté ne l'attendait pas de l'autre côté.

Elle était entrée .
Fut une nouvelle fois surprise .
L'homme qui l'attendait était en peignoir , chaleureux et souriant voir même séduisant .
Et pourtant c'était le même que cet après midi .
Celui qui l'avait poussé à tuer .

Arnold lui donna l'accolade, elle se raidit .

-Ce Matin tu as vu une facette de moi . La pire . Généralement je la cache aux autres ... à ma femme . À ma maîtresse . Même à la plupart de mes collaborateurs. Tu noteras que même Henry ne savait pas à Quoi s'attendre . Ce n'était pas le teste que j'avais prévu pour toi , Mais ta  réaction ma agréablement surpris. J'ai réalisé... que tu étais prête ...

-Pour ?

Saraïe avait retrouvé une contenance.
Celui  qu'elle avait en face d'elle n'était qu'un homme ... Tout à l'heure , c'était un fauve .
Elle savait y faire avec les hommes malgré son jeune âge .

Elle n'avait aucune expérience avec les Fauves . Alors ,  elle restait sur ses gardes . On ne pouvait prédire quand il resurgirait .

-Ta mission... répondit Arnold . -La seule que tu devras compléter pour recevoir ton chèque . Je suppose qu'Henry t'as briefer?

-Je ne veux pas d'un chèque...

Il se servait un verre de Whisky ... sans la regarder .

MOSCOWHikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin