Chapitre 24🍎

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Antenor se jeta sur le canapé et soupira de frustration. Il passa une main sur ses cheveux et fit d'énorme effort pour contrôler cette colère qui serrait ses poumons jusqu'a les faire comprimé de douleur. La raison de sa colère n'était que Veronica. Il avait reçu un appel menaçant et faut dire qu'après avoir entendu sa voix, il n'était plus le même homme. 

Cette situation était devenue exaspérante.  Un rictus amer rehaussa ses lèvres en recevant l'appel de Marcos

-Tu devrais faire attention. Veronica ne plaisante jamais

Le souffle court,  Antenor faisait  beaucoup pour ce contenir.  De toute évidence Marcos avait vu juste.  diable! Pourquoi avait-il eu une relation avec Veronica ?
Cette phrase le déstabilisa plus que tout.  Il se leva et fit les cents pas tel une horloge, grognant comme un animal blessé. 
Il devait réglé cette affaire lui même, connaissait l'etat instable de cette dernière, elle pourrait nuire sa femme. 

-Tu es la Antenor?

Ce dernier inspira profondément avant de répondre son ami.  Il chassa ses idées de meutre et se concentra sur sa voix a l'autre bout du fil.  Décidément, il n'était pas au bout de ces surprises. Il avait doit au chantage, au cris de Veronica jamais Ô  grand jamais, elle ne l'avait menacé
de tout révélé a la presse

-Que t'a t-elle dit?

Antenor se redressa.  Ses poings étaient déjà enroulés et ses muscles se contracterènt déjà.  Sa bouche se tordait violemment.

-Quelle dirait tout a la presse

Il n'entendit aucune voix traversé le combiné.  Marcos était tout aussi surpris que lui.  On se croyait dans un désert ou il n'y avait âme qui vive. Il avait eu la même réaction, d'abord il avait crû qu'il s'agissait d'une blague.
Il avait lâché un de ses rires dont lui seul avait le secret pour ensuite être interrompu par Veronica. Et sa nouvelle plaisanterie n'était pas aussi réjouissante que la première.

-Est-ce une plaisanterie ?s'interrogea son ami après plusieurs minutes de réflexions.

Si c'était une vulgaire plaisanterie, alors elle s'y prenait mal.  Antenor était déjà dans tout ses états. Sa rage ne fait que se multiplier a mesure qu'il prenait conscience du danger imminent que courrait sa femme.
Sa douce femme qui n'avait rien demandé. Après avoir arpenté la pièce, il se trouva assis sur le canapé, la respiration haletante.

-Que vas-tu faire?

Un sourire sarcastique vint s'accentuer sur ses lèvres.  Il rêvait de faire des tats de chose comme lui mettre une balle en pleine coeur. Où enfermé cette folle dans un endroit d'où elle pourrait jamais en ressortir.
L'intégralité de ses muscles se durcissaient.  comme il adorait sa femme.  ce fut d'une douleur intense qu'il avait réussi a retirer son portable de ses tympans après la menace de Veronica.  Il avait tremblé comme une feuille. Et toute suite, Antenor avait alerté son chauffeur personnel pour les ramener saine et sauve a l'hôtel.

-Ne fais rien de stupide, lâcha son ami connaissant très bien le tempérament de feu d'Antenor

Antenor partit d'un rire fou qui tremblait les murs de sa chambre.  Ce femme ne méritait aucune compassion. Faire du mal a quelqu'un d'aussi douce que Selma.  Dieu! Il  l'aimait tellement sa femme. 

-Nous trouverons une solution Antenor, inutile d'en arriver là

Antenor lâcha prise.  Mieux valait écouter Marco qui d'ailleurs avait raison sur toute la ligne. Il chassa ses envies de tuer Veronica même si son coeur le lui interdisait et se concentra sur le plan qu'avait élaboré Marco.  Rester sans rien !
Il détestait déjà ce plan. Sur ce, son ami raccrocha mais la rage qu'il ressentait était encore présente.  Antenor se jeta du lit en proferant multiples jurons quand la porte s'ouvrit sur Selma. La vue de sa femme lui fit un bien fou, il se leva et la prit par les hanches pour la câliner.
Son odeur lui avait manqué terriblement. Réceptive, elle le serra plus fort tandis que ses mains montaient et descendaient sur son dos musclé. Vivre sans elle, lui était impossible. Il l'aimait pour ça.

-Est-ce que tu vas bien? Lui demanda Antenor.

Selma secoua la tête puis d'une main, elle caressa sa joue. Une chaleur étouffante s'installa entre eux. L'air devint surchargé en électricité. Son corp réagissait au touché de sa femme. Antenor sentit un désir fulgurant prendre possession de son être. Il voulait sa femme. Il mourrait d'envie de la faire sienne.  De goûter encore une fois a sa peau mielleuse, de savourer sa bouche pulpeuse qui l'appelait sans cesse. Dieu! Cette femme le mettait dans un état second. Et le désir de s'unir a elle était tout aussi insupportable. Puis contre toute attentes, elle se hissa sur la pointe de ses pieds pour l'embrasser. Leurs lèvres se remurent ensemble. Selma gémit contre sa bouche, Antenor en profita pour insérer sa langue et approndit leur baiser. 

Elle s'agrippa a ses épaules fermes pour éviter de tomber.  Elle se laissa aller.  Une explosion de désir palpa ses veines et Antenor en profita pour la hisser sur ses hanches solides. Il la jeta sur le lit et entreprit de la devertir et s'attaqua a sa chemise qu'il deboutonna.  Ils furent nus tous les deux. Selma pour sa part, avait hâte de s'offrir a son mari. Elle voulait le goûter pour la deuxième fois de la journée.  Sans qu'elle s'en aperçoive, Antenor entra en elle avec plus de douceur qu'elle n'aurait imaginé.
Il avait le don de l'emporter dans un monde dont elle ne soupçonnait l'existence jusqu'à hier. 
Elle connu l'orgasme entre ses bras et la sensation était tout aussi délicieuse que la première fois. 


-Tu as été magnifique, susurra t-il au creux de son oreille en resserrant son étreinte

Elle rougit adorablement avant de cacher son visage a l'aide de ses petites mains.  Son mari lâcha un rire puissant et sensuel.

-Ne te cache surtout pas. Tu es magnifique.

Il prit ses deux mains et l'embrassa a nouveau, l'important dans une vague de sensualité brûlante et glacée a la fois.  De sa main, il partit a la découverte de son corps, sillonant délicatement chaque ligne, chaque courbe.  Chaque centimètre conquis  plongea selma  dans une mer de sensation incroyable quand bien trop vite il retira sa prise et l'embrassa non pas sur les lèvres mais sur le front

-Dors ma chérie. Je serais là pour te surveiller, dit-il en la serrant plus étroitement.

Mais selma eu soudainement l'impression que quelque chose le troublait ne voulait pas gâcher ce moment si parfait, elle asquiesca d'une bonne tête et s'en dormi tout en se promettant de découvrir la vérité







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