huit.

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Salam.

Je vous passe quelques semaines de taf où la routine s'était installé. On avait continué d'avancer dans nos projets en accueillant et présentant un premier exemplaire de notre projet à de nouveaux collaborateurs puisque certains nous avaient lâché. On réunissait de grands groupes capables de nous aider à atteindre notre premier objectif.

Gringson se remettait doucement sur pied il se présentait au travail au moins une à deux fois par semaine pour évaluer, signer, etc.. je lui rendais régulièrement visite pour prendre de ses nouvelles et lui en donner de ce qui concerne la société. Laura semblait rassurer de savoir que l'entreprise continuait de tourner malgré l'absence de son mari, c'était un point de plus pour elle dans le débat entre elle et lui concernant son besoin de repos.

Sinon à part ça côté vie privée Aaron mon reuf était réclamé par de plus en plus de grandes marques, ils se faisaient tirer dans tous les sens et saaah ravi de savoir qu'on mangeait tous Gucci ici oui oui par-ce que même le loveur de Mikhaïl venait de reprendre le magasin de son père. Il vivait bien, on attendait qu'un putain de mariage entre lui et son ivoirienne préférée.

Aya s'était lancée dans le commerce de produits capillaires, elle avait lancé sa marque et proposer divers gammes de soins bios ou à base de produits naturels. Je lui avais fait son site purée qu'est-ce qu'elle m'avait fait chier ce jour là. Jamais eu une cliente aussi pointilleuse, mais je la comprends c'est ce qui la représente elle voulait que ça puisse lui ressembler au maximum. Je suis vraiment fière d'elle.

Ce matin quand j'arrive au travail la première chose que je remarque c'est le grand corps de Mike. Je pensais que la rumeur d'hier portait bien son nom mais visiblement ce n'est pas le cas le pasteur fait bel et bien son come back.

Je fais comme si je ne l'avais reconnu de dos et salue rapidement Stephanie à l'oral en poursuivant jusque dans mon bureau. Je sais qu'il s'est retournée qu'il m'a vu j'ai même senti son regard froid mais j'ai vesqui, il va me casser les couilles si je pose le regard sur lui.

A peine arriver dans mon bureau que je souffle déjà.

- qui t'as autorisé ?

Maddison - je m'ennuie.

La meuf est aisément posée sur mon nouveau canapé scandinave que j'ai fait installé hier.

- il est neuf heures.

Maddison - je suis à jour dans tout on m'a rien donné pour aujourd'hui.

- trouve toi une occupation mais lèves tes grosses fesses de mon canapé.

Maddison - arrête de parler de mon derrière.

- je vois que ça.

Maddison - kalá bocá ! e a ultimá vêz, dxa'm aviso'b.

- oui oui aller on déguerpit.

Folle elle.

Elle sort grave ennuyée mais c'est pas mon problème, évidement que j'en profite pour admirer son postérieur. Faut voir quand elle porte un jeans ce que ça donne, je deviens faible. Me prenez pas pour un détraqué on est adulte elle sait ce que je pense d'elle d'ailleurs je me cache pas pour le faire. Quand elle tape sa démarche de son bureau au mien wah mais je me dis quelle femme, je voudrais mourir sous ses fesses. Maddison sait qu'elle plait elle sait que le regard est portée sur elle et elle continue de balancer de ses hanches de gauche à droite volontairement par-ce qu'elle s'en tape royalement, et je continue de m'affaiblir.

J'ai n'ai eu que le temps de m'installer, d'allumer mon ordi et m'étirer qu'elle était déjà revenue. Je la regarde se poser sur la chaise en face de moi elle me fixe je la regarde, je perds quelques fois le fil plus bas que son visage mais je me retrouve.

On se fait l'amour, on se fait la guerre - ZackaryaWhere stories live. Discover now