Chapitre 20

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Aujourd'hui

Nous attendons le taxi en nous dévorant de baisers et on a du mal à se tenir tout au long du trajet.

Le trajet jusqu'à chez elle me paraît interminable alors quand le taxi arrive enfin, je balance plus de billets que nécessaire sur le siège passager et j'attire Lauren avec moi hors de l'habitacle.

Elle a du mal à mettre la clé dans la serrure parce que je la déconcentre en mordillant et léchant son cou. Quand elle ouvre enfin la porte et la referme derrière nous, elle dépose sa pochette et elle me tire par la main jusqu'à sa chambre. Je la plaque contre la porte de sa chambre en l'embrassant et elle gémit contre mes lèvres. Sans perdre de temps, je fais glisser ça magnifique combinaison le long de son corps.

J'empoigne sa taille pour la rapprocher de moi. Elle défait adroitement ma chemise et je l'aide à la faire tomber sur le sol. Elle glisse ses ongles le long de ma peau et je me sens de plus en plus à l'étroit dans mon jean. Je passe mes mains dans son dos et dégrafe son sous-vêtement pour dévorer ses seins l'un après l'autre. Elle gémit même si elle essaie de ne pas faire trop de bruit.

Je me baisse et fais glisser sa culotte le long de ses jambes interminables. J'embrasse son intimité et je la sens mouillée. Je m'attarde là un petit moment mais m'arrête quand je sens que ça monte trop de son côté. Elle me pousse vers le lit tandis que je l'embrasse derrière l'oreille à côté de la nuque pour l'entendre gémir à nouveau.

Quand je sens le lit derrière moi, je m'allonge et elle se place au-dessus de moi. Elle est complètement nue alors que j'ai encore mon jean. Elle commence par embrasser mes lèvres puis descend sur ma gorge, mon torse, mes abdominaux, le début de ma ligne de poils. Je grogne de plaisir lorsque je sens ses mains défaire le bouton et la fermeture éclair de mon jean. Lauren fais glisser d'un coup mon jean et mon caleçon jusqu'au-dessus de mes genoux. Elle libère mon érection qui pointe maintenant vers le plafond. Sans attendre plus longtemps, elle fait tourner sa langue sur la pointe de mon sexe. Je grogne à nouveau de plaisir et je la fais monter vers moi pour dévorer sa bouche à nouveau. Je sais que si je la laisse continuer, je ne vais pas tenir longtemps.

-Capote, je dis entre deux baisers.

Elle ouvre le tiroir de sa table de chevet et sors un préservatif qu'elle met autour de ma verge sans me quitter des yeux. Elle est assise de part et d'autre de mes jambes et je la vois se placer au-dessus de mon sexe tendu. Elle attrape ma verge et me positionne à l'entrée de sa fente. Elle descend lentement sur moi et une fois que je suis plus profond que jamais je ne l'ai été en elle, elle ondule sur moi. Ça m'arrache un râle de plaisir. À l'aide de ses jambes, elle se soulève pour redescendre ensuite.

Elle penche la tête en arrière tellement c'est bon puis elle croise mon regard. J'aime ce que j'y vois, j'aime ce côté joueur que je perçois dans ses prunelles. Elle continue ses va-et-vient et c'est une torture pour moi qu'elle aille si lentement. Je vois dans ses yeux qu'elle le fait exprès et je ne tiens plus. J'attrape ses hanches et la pilonne plus fort, plus vite et plus profondément encore. Ses mains viennent d'elles-mêmes se poser sur mes épaules. Elle gémit non loin de mon oreille et ça me rend fou. Après quelques derniers mouvements de ma part, je la laisse reprendre les devants, c'est elle qui nous fera jouir cette fois-ci.

Elle reprend ses montées et descentes un peu plus rapidement cette fois. Je prends ses seins qui pointent vers moi dans mes paumes pour titiller ses tétons et alors que je me dis que je ne vais pas tenir plus longtemps, elle se contracte autour de moi, cambre son dos, et à ce moment-là je la trouve magnifique. Je ne tarde pas à la rejoindre. Nous jouissons ensemble et quand ses spasmes se calment, elle s'écroule sur moi. Sa respiration et haletante. Je sors doucement d'elle, enlève la capote, la ferme et la mets par terre près du lit. À l'aide de mes jambes, j'enlève mon jean et mon caleçon bas sur mes jambes. Je rabats le drap sur nous et passe mes bras dans son dos pour la garder contre moi. Je ne sais pas si cette position et confortable pour elle mais elle ne bouge pas alors je la garde contre moi, allongée sur mon torse. La fatigue commence à se faire sentir et mes yeux deviennent lourd. Alors que je sombre presque dans le sommeil, j'entends sa douce voix parler à mon oreille.

The orphanWhere stories live. Discover now