Dans les années 1920. Deux des meilleurs célibataires de la ville de Manchester étaient les prétendants de la fille d'un aristocrate. Les célibataires Jeon Jeongguk et Kim Taehyung savaient qu'ils allaient finir par être rivaux dès leur première ren...
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JEREMIAH 29:11
"Car je connais les plans que j'ai pour vous, déclare le Seigneur, des plans pour vous faire prospérer et non pour vous nuire, des plans pour vous donner de l'espoir et un avenir.
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Être hétéro dans les années 1920 est une tendance. Tout comme la musique jazz est actuellement une tendance à succès.
Et être attiré par le même sexe est considéré comme un péché mortel, selon de nombreuses personnes, y compris Dieu lui-même.
En gros, la raison pour laquelle ce n'était pas une tendance.
Jeongguk n'aimait pas du tout la ville de Manchester. Même s'il avait pratiquement touché le jackpot, car beaucoup d'aristocrates y vivaient. Et qu'il y avait beaucoup d'opportunités disponibles, peut-être secrètement attribuées à lui dans une si grande métropole. Mais néanmoins, pas même l'idée de la mépriser n'a traversé son esprit.
En fait, il était tout à fait excentrique seulement pour ces gens, qui y vivaient. Tous ceux qui agissaient comme s'ils étaient Dieu eux-mêmes. Et pas la ville elle-même.
Manchester est une beauté. Une grande ville du nord-ouest de l'Angleterre qui avait un riche héritage industriel. Le système de canaux du 18ème siècle de la zone de conservation de Castlefield, une beauté, même s'il n'avait pas tout à fait un arôme agréable, dans lequel Jeongguk n'avait pas envie de se jogger, quoi qu'il arrive.
C'était un dimanche matin. Vêtu d'habits de luxe, Jeon Jeongguk était assis là, entre ses fidèles parents. L'habit étouffant qu'il portait l'ennuyait, tandis qu'il écoutait la voix sonore, mais hypnotisante, du prêtre qui lui jetait un sort, un sort qui l'endormait.
Les enfants de chœur s'agitaient et chuchotaient pendant le service. Les plus petits jouaient avec leurs toges bien ajustées, un petit sourire sur le visage.
Les vieux de la congrégation avaient alors jeté des regards vers eux tout au long du prêche, avec des expressions exaspérées ou des renfrognements. Mais quand ils chantèrent, tout était pardonné. Leurs voix étaient aussi douces que la pluie après la chaleur du mois d'août. Elles résonnaient parmi la maçonnerie et jusqu'aux plafonds. Leur doux chant éclatait à travers la porte ouverte qui menait au cimetière au-delà, ce qui avait tiré le mâle corbeau de son sommeil supposé proche.
Leurs magnifiques hymnes rappelaient aux anciens l'innocence de la jeunesse, apaisant leur esprit, ravivant de doux souvenirs. Pourtant, si vous demandez aux enfants pourquoi ils chantaient si bien, ils vous diront tous que c'était pour le gâteau au chocolat de Mme Robinson. Qu'elle faisait cuire une fois de temps en temps à chaque semaine. Et une fois leurs toges enlevées, ils pouvaient prendre une grande part et savourer le doux gâteau au chocolat, en souriant et en bavardant affectueusement les uns avec les autres.
