Dans les années 1920. Deux des meilleurs célibataires de la ville de Manchester étaient les prétendants de la fille d'un aristocrate. Les célibataires Jeon Jeongguk et Kim Taehyung savaient qu'ils allaient finir par être rivaux dès leur première ren...
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Lévitique 18:22
Ne mentez pas à un homme comme on ment à une femme, c'est détestable.
🥀
Après avoir attiré Evangeline dans un baiser... un petit baiser, finalement. Comme les baisers incluant la langue, tout comme Park Jimin l'avait dit à un moment donné. Jeongguk avait fini par s'enfuir de la scène qu'il avait déclenchée, les jambes tremblantes et le cœur battant la chamade.
Taehyung derrière lui, suivant chacun de ses instants, pourchassant le jeune homme, qui était fatiguément préfiguré par ses démons. Comme si l'espoir n'était pas mesuré par la volonté en donnant des rappels constants d'admiration ; qu'il n'était pas seul - comme Taehyung l'était avec lui.
"Pourquoi as-tu embrassé Eva... juste devant moi, Jeongguk ?" demanda le mâle plus âgé derrière lui, sa voix résonnant dans l'espace restreint. Tout en regardant les épaules du jeune homme s'affaisser, comme une fleur qui avait perdu sa vie et sa vitalité, avec ses yeux fixés sur lui.
C'était sévère. La voix de Taehyung était plutôt sévère. Apparemment desséchée une fois que ces mêmes onze mots se sont échappés de ses lèvres découragées. Elle semblait gravée du mot "douleur". Quelque chose que Jeongguk n'avait jamais remarqué, car il avait continué à courir. S'enfuyant comme si les problèmes et ses innombrables pensées le laisserait tranquille.
Pathétique. C'était pathétique de la part de Jeongguk, pour être tout à fait franc. La façon dont il avait tenté de s'enfuir de tout... comme s'il s'agissait d'un animal auquel il pouvait échapper. Mais, non. Ce n'était pas un animal auquel il pouvait putain d'échapper. C'était la réalité. Le mot le plus redouté par l'humanité, probablement parce que la réalité n'était pas si aimante et gentille pour la plupart de ses détenteurs .
Ou dans ce cas. . la réalité n'avait pas été tendre avec l'humanité .
Tout ce que vous souhaitez voir se produire dans votre vie n'avait qu'un faible pourcentage de chance de se réaliser. La réalité était constituée de hauts et de bas ; elle ressemblait à une marée déchaînée qui n'était pas maîtrisable et qui ne se calmait qu'au bon moment de votre vie, pour revenir à certains moments.
Perdant de nombreuses options de couloirs pour s'enfuir. Ses jambes étaient complètement endolories par la brusque augmentation de la pression sur ses muscles, qui continuaient à faire mal lors ses flexions et étirements continus. Soucieux qu'il ait abandonné la course. Les jambes douloureuses dues aux fléchissements constants.
