PASSIONNÉMENT(Connor Mcdonough fan fiction )

Incident dans le train

Moi : Ah oui pourquoi ?

Raïssa : Parce que tu es naïve et crédule !

La joie qui m’avait animé partis alors, j’avais repensé à ce que Raïssa m’a dit toute la nuit ; Connor est-il en mesure de faire ce genre de chose avec moi ? Après que Raïssa m’ai dit que j’étais naïve et crédule, j’avais tourné notre conversation sur un autre sujet je ne voulais plus parler de ça, en fait elle commençait à m’énerver alors j’ai préférer parler d’autres choses pour ne pas exploser de colère devant elle parce que si j’explosais je lui aurai dits des choses que je regretterai par la suite.  Mais pourquoi ai-je faillis me mettre en colère ? Elle ne veut que mon bien, elle a accepté  de m’héberger alors qu’elle ne me connaissais même pas, c’est quelqu’un qui a un grand cœur, elle m’a dit que je suis naïve puis  crédule et alors ? Elle l’a sûrement dit pour me faire ouvrir les yeux sur la réalité, mais si on jouait avec moi, je pense que je peux m’en rendre compte par moi-même. Mais ce qu’elle m’a dit m’inquiète et si Connor était vraiment entrain de jouer avec moi ? Non bien sur que non, il m’aime… « M’aime », ce mot résonna alors dans ma tête, Connor ne m’a jamais dit qu’il m’aimait  non jamais…..

Sans que je ne m’en rende mes paupières devinrent toutes les deux très lourdes si bien qu’elles se fermèrent, je tombai alors dans un profond sommeil.

Le lendemain matin, je me réveillai de bonne humeur et ne me laissa plus affecté par ma conversation avec Raïssa vous savez pourquoi ? Parce qu’aujourd’hui Connor à prévu de m’emmener à la  fontaine du lac Eola, et à côté de cet endroit se trouve un restaurant privilégié pour manger du poisson frais.

Cette journée s’annonce vraiment bien, je m’étais même réveillé à 5heures du matin pour ne pas faire attendre Connor car il déteste ça et aujourd’hui il ne peut pas venir me chercher comme à son habitude. Je pris, une douche puis m’enveloppa de ma serviette de toilette et partis me faire  un beau bouclage avec mon fer à bouclé. Je vais ensuite dans mon dressing, je pioche un pantalon jean bleu serré légèrement destroy ainsi qu’un débardeur blanc. 

Au moment d’entré dans la salle à manger pour prendre mon petit déjeuné, je vis Raïssa en robe de chambre, cette dernière me lança un regard surpris.

Raïssa : Caprice, ou vas-tu de si  bonheur ? Il n’est que 6h15 ?

Moi(en venant  lui faire la bise) : Bonjour Raïssa, aujourd’hui je vais à la fontaine du lac Eola avec Connie, pardon j’ai oublié de te le dire hier !

Raissa : Il sera bientôt  là donc !

Moi : Non ce matin il a rendez vous avec son tuteur privé dans les environs d’Eola du coup je lui ai dit de m’attendre là bas, je n’ai pas envie qu’il fasse un allé et retour de là bas jusqu’ici !

Raïssa : Tu veux que je te dépose ?

Je lui fis un non de la tête, aujourd’hui j’irai à Eola en train.

*******************Dans le train***********************

Mon taff à la maison d’édition sera bientôt terminer, plus qu’une question de jours, le lycée nous a consacré tout le mois d’Avril pour faire notre stage dans une boite de notre choix toutefois le choix de l’entreprise  doit présenter un lien avec la  filière choisie pour le bac, après ces un mois de stage, nous obtenons une courte pause de deux semaines. Je voulais faire mon stage à TSLCA l’entreprise de mon père qui est spécialisée dans l’information et l’édition des chroniques africaines puisque je suis dans la filière littéraire ; papa en a  pourtant décidé autrement, ce dernier grâce à ses relations de travail a décidé que je ferais  mon stage dans une  autre maison d’édition , cette maison d’édition est en collaboration avec sa boite mais elle se trouve en Floride , ça n’a pas été facile pour moi de venir ici dans un pays où je n’ai encore jamais mis les pieds et en plus de ça pour travailler , au tout début je n’arrêtais pas de pleurer quand j’avais maman au téléphone ou quand je faisais skype avec elle mais plus le temps passais plus je m’habituais à ce pays. Mes parents et mes amis me manquent  beaucoup , tous les jours je compte le nombre de nuit que je vais encore passer ici. A la maison d’édition on m’a donné l’occasion de terminer plus tôt pour que je puisse rentrer mais j’ai catégoriquement refusé.