Chapitre 6

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ATTENTION.

Certaine scène peuvent heurter la sencibiliter du jeune publique. Déconseillé aux -10.

Les courageux et les plus grand, je vous invite à lire ce chapitre avec la musique...

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J'ouvre la porte de ma chambre, je sors en chausson. Je regarde le couloir... Brr, il faisait froid et noir, trop noir.

J'avais l'impression que quelqu'un se tenait derrière moi. Je me retourne mais rien... Je suis devenue parano.

Je descendis en trombe les escalier, la maison était endormie... Enfin, les habitants. La demeure ne semblait pas endormit elle.

Je chercha les cléfs dans le salon, parcourus le long couloir d'en bas pour revenir dans le hall. J'entendis un déchirment.

Super, comme si j'avais besoin de ça, il y a de l'orage dehors. Cinq secondes plus tard, la pluie tombait. Mais j'entendais le chien hurler à la mort, je ne pouvais pas le laisser.

-AOUOU... HOOOAAF.

Mais... TA GUEULE! C'est bon, j'arrive! Je mis mon mentaux et m'aventura sous la pluie. Le vent me fouettait et l'orage me faisait trembler de tout mes membres.

Je contournais la maison, jusqu'à arriver derrière elle. Je regarda le hangar... Les portes claquaient avec violence... Elles n'étaient pas fermées avant ? Et puis le chien aurait put partir..

Mais non, il continuait à hurler dans le hangar.

-OOOOUUUAAAF

Plus il aboyais, plus j'avais l'impression que sa ''voix'' se désincarnait. Je descendis lentement les marches en regardant avec inquiètude l'abri à bateau...

Les portes claquaient de plus en plus fort, et les aboiements du chien résonnaient de plus en plus... L'orage éclata et la pluie me martelait la peau...

Je m'approcha doucement, puis, je saisis la poignet de la porte du hangar. D'un coup sec je l'ouvris.

Je fus prise de nausée, et de peur... Le sol était immaculé de sang... Je vous le jure, je l'ai vue grâce à la lumière que l'orage produisait.

Et puis... Il y avait ce cadavre... Un chien. Il était mort, il gisait par terre. Je vis les nombreux coups assenés sur son coup.

-OUOUOUAAFF

Le hurlement du chien résonna dans le hangar. L'orage explosa. Quelle horreur, je me retournai et  partis en trombe et en hurlant...

Je n'avais pas vu la silhouette qui venait vers moi. On se rentra dedans, et on tomba. Je vis la silhouette se relever.

Je hurla... Mais cet endroit était horrible, je n'aurais jamais dû sortir... L'orage éclata une fois de plus, et je vis qui se tenais devant moi.

Thomas.

Il me prit par la taille et me releva. Je le pris par le col, et commença à pleurer.

-Qu'est ce qu'il se passe? Me demande-t-il.

-Là... Balbutiai-je... Dans le hangar... Ma voix n'était plus qu'un murmure horrible, un chien... Il aboyait... quand j'ai ouvert le hangar.. Je n'ai pas trouvé le chien...

Je le regarda éffaré. Je repris:

-Non, c'est pas lui que j'ai trouvé! C'est son putain de cadavre!

Le visage de Thomas devint livide. Il regarda le hangar. Le chien avait arrêté d'aboyer. Le garçon s'approcha du hangar.

Mais je l'attrapa.

-NON! N'y va pas! C'est horrible...

Il soupira et répondit:

-Laisse moi faire... Mets toi ça pour l'instant.

Il enleva sa veste et me la mit sur le dos. Il me regarda, me caressa le visage, me sourit et descendit vers le hangar.

Je le vit ouvrir la porte, il y entra. Les portes se refermèrent. la peur m'envahit. Je me retrouvais seule dehors, et lui à l'interrieur seul aussi. Ou en compagnie du cadavre.

Les portes s'ouvrirent et Thomas me fit des gestes. il voulait que je m'approche. D'un pas mal assuré je le rejoignit.

Il me montra le hangar.

-Il n'y a rien.

Je regarda dedans et paniqua. Il n'y avait plus de sang ni de cadavre. Il me sourit.

-Tu es sûrement très fatiguée.

-Non! M'exclamai-je, je l'ai réellement vu!

-Oui, bah, moi, je ne le voie pas!

-THOMAS! Je sais ce que j'ai vue!

-Oui, mais moi, je sais ce que je vois, et je ne vois rien...

Il soupire et me prit dans ses bras.

-Je te ramène chez toi...

On remonta la pente, puis les escalier, la pluie tapait toujours mais l'orage s'éloignait. Quand on arriva devant le chambranle de ma porte, une question me frappa:

-Et toi? Qu'est ce que tu faisais dehors?

-Je...

Je savais qu'il cherchait un mensonge.

-Je t'avais vu sortir...

-Je sais que c'est un mensonge... Mais bon... Demain tu me dira la véritée.

Il me regarda incrédule. Puis soupira. Il me sourit et posa un doux baiser aux coins de mes lèvres.

-Dors bien, Thompson...

Il tourna les talons et rentra chez lui. Je ferma la porte et me réfugia au chaud dans ma chambre. C'est là que je me rendis compte que j'avais encore sa veste.

Je m'enfonce dans les drap avec la délicieuse odeur de Thomas. Morphée m'atrappa pour un sommeil sans rêve.

AmityvilleWhere stories live. Discover now