Chapitre V.

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–– Pyrites

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–– Pyrites.

アパタイト

Sasuke fredonnait plusieurs injures pendant qu'une pluie ardente éclatait contre son par brise.

Rien ne pouvait exprimer la colère qui taper contre la peau du noiraud. Ses sourcils était froncés et ses jointures se pressaient entre elles jusqu'à devenir blanche.

Sarada était plus silencieuse que d'habitude , ses pupilles coincés sur le sol. Haletante, ayant ses poumons gorgés d'étouffement. Elle était agrippée contre la ceinture de sécurité , la tenant comme si sa vie en dépendait pendant que ses lèvres tremblante lâcher des petits sons qui brisé le coeur de Sasuke.

Sakura avait pris sa propre fille, comme un punching-ball. Elle avait désignée une enfant comme bouc émissaire, lui chargeant sur ses épaules toute sa frustration qui ne la concernait pas.

Elle était au courant de l'hypersensibilité de sa fille ainsi que de sa phobie sociale , elle l'accompagnait même des fois chez la psychiatre et en quête d'une amélioration.
Mais ici , elle avait jouée de son trouble psychique pour lui faire mal et l'égorger de ses mots tranchant.

Rien ne pouvait exprimer la façon dont Sasuke n'avait aucune pensée cohérante envers sa femme.
Si sa fille n'était pas témoin , il aurait craché sa haine avec des coups déformant encore plus le visage de Sakura.

Il n'avait pas vraiment réfléchis , il avait juste assisté impuissant à la descente de sa fille. Cette scène ne durée que quelques minutes mais assez pour ne plus supporter cette vue.
Il avait simplement saisie le petit poisson dans une poche en plastique. Car l'animal fut chéris par sa fille depuis son arrivée dans leurs salon.
Et enfin il avait pris la main de sa fille pour la faire rentrer dans sa voiture.
L'éloignant le plus possible de cette femme.

Après plusieurs temps où la voiture s'écraser contre le bitume , Il s'arrêta enfin.

–– On est arrivés Sarada.

Il repris le poisson qu'il avait poser sur le siège vide à ses côtés avant d'ouvrir là portière à sa fille.

Elle resta toujours muette , suivant juste son père sans lever le regard.
elle avançait,  laissant défiler ses yeux sur le sol, sa main accrochée à celle de Sasuke.

Elle entendit des coups à une porte et imagina que son père était en train de lui chuchoter des choses qu'elle n'arrivait pas à capter. Bien trop dans ses pensées plus désolantes les unes que les autres.

Après quelques instants , la porte en face d'eux s'ouvra.
Sasuke hocha la tête en guise de salutations face à l'homme devant lui.

–– Bonjour Sasuke. Salut Sarada . Dit l'homme.

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