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Sasuke Uchiha , patron de la plus grande bijouterie de Tokyo. Un homme puissant qui préfère se concentrer sur le reflet des pierres plutôt que sur sa vie chaotique. Entre une femme qu'il n'a jamais aimé, et des pressions familiale peu commune,i...
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–– Sodalite.
アパタイト
-- Et ducoup, la «scène» , Naruto mima des guillemets avec ses doigts tout en gardant un ton plaisant. Et bah c'était elle qui voulait me parler mais...
--Mais ? Continua Sasuke.
-- Mais... Une frustration trahissait sa voix. Merde Sasuke , j'ai passé une semaine à me morfondre comme une merde dans la maison de mon meilleur ami à cause d'elle. J'ai tout sauf envie de la revoir ?! Cria-t-il cette fois d'un coup.
Sasuke ne dit rien , buvant ses paroles d'une pilule amer. Il avait une empathie étrangère pour l'homme en face de lui en le voyant craquer de la sorte. L'homme au visage souriant se fissuré un instant pour ne devenir qu'un visage désespéré. Rien qu'avec l'insistance de sa voix, Sasuke compris qu'il était le premier sur qui le blond craquait sur cet événement. Il soupira et se remplit un deuxième verre , sachant pertinemment qu'il en aura besoin de beaucoup plus , pour digérer l'amour évident que le blond porte encore pour la jeune femme.
-- Tu sais Sasuke , comme un con j'ai des vielles crises d'angoisse et ... et...
Sasuke compris simplement et décida de poser la paume de sa main sur l'épaule tremblante de son paire. Ses yeux étaient toujours fermés quand Sasuke le regarda. Décidant d'enfin brisé le silence , il réitéra sa parole.
--Sarada a les mêmes attaques de panique. Je comprend.
Sasuke ne parlait jamais de la santé de sa fille à l'extérieur des spécialistes et de sa famille. L'évocation même de ses crises de panique était tabou chez lui , car il n'aimait la prise de pitié hypocrite que l'on donnait à sa fille. Mais pour une raison quelconque, il savait que Naruto n'aurai pas cette réaction et que surtout il avait besoin de cet information pour se rassurer.
Et malgré ce sérieux dont il faisait preuve au quotidien , il n'avait rien montrer de sa surprise. Naruto était une boule de joie et pourtant derrière les sourires empoignant se cachait des insécurités , des doutes et des pleures. Ça ne devrait pas le choquait cependant, il avait appris par la soignante de Sarada , le docteur spécialiste Mei Terumi que souvent lors de forts sentiments de rejet et d'insécurité sociale, les personnes victime réagissaient de manière extrêmement opposée pour décompresser d'une manière ou d'une autre cette pression.
Il y avait à vraie dire , trois possibles réactions ;
Sois la personne se refermait au point où le monde était même de trop pour sa coquille.
