Chapitre 10 : sortie et proposition

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« Une vie inutile est une mort anticipée »
Goethe .

Il était dix-huit heure trente . La cloche de la porte retentissait à chaque fois qu'un client entrait et sortait par la même occasion .

Je me trouvais dans une supérette qui venait d'ouvrir près de chez moi .

J'y avais acheter les mêmes choses essentielles et habituelles , comme des légumes et d'autres choses qui pouvaient encore tenir longtemps .
J'allais reprendre le travail , après demain .

Je tournais et tournais dans les différents rayons , essayant de me remémorer la liste de
course que j'avais oublier sur le bureau , dans ma chambre .

Je regardais mon sac et me dirigeait vers la queue ; arrivée à la caisse ,je metais rendue compte que j'avais oubliée la sauce tomate , qui était essentielle au repas que j'allais préparer ce soir .

Après avoir prévenu le caissier que j'allais arriver dans dix secondes maximum , j'avais couru du pas le plus rapide que j'avais du emprunter au cour de ma vie afin de ne pas faire attendre les deux vielles femmes qui se trouvaient derrière moi .

J'avais enfin réussi à ramener ce pot , et quitta la caisse après avoir payer sous le regard agacé du caissier , par la même occasion .

J'étais maintenant devant la supérette , deux sacs à la main et me demandant si je devais passer à la boucherie .
Mon frère m'avait réclamé de la viande pour ce soir , alors j'étais rentrée , dans la boucherie d'en face , ou j'avais l'habitude d'y acheter ma viande .

Et c'est en ressortant que j'avais regretté , car je m'étais rendu compte que mes sacs étaient bien trop lourd pour mes pauvres bras .


Et c'est ainsi que je trainais des pieds , sous les regards de quelques enfants du parc a côté .
On les entendait de loin dire des choses du genre « c'est la sœur de Ryo » ou encore « il parait qu'elle travaille » .

Il me restait encore cinq à sept minutes de marche , et d'un coup , les sacs qui se trouvaient sur mon bras droit devinrent étonnement légers . Je tournais ma tête vers eux et remarquais une main ;
Je la suivis du regard et tomba nez à nez avec lui :

Chifuyu : besoin d'aide ? souriait le faux blond en me prenant deux sacs .

J'étais très étonnée de l'avoir croisé ici , sachant qu'il n'habitait pas dans le coin .

-chifuyu ? qu'est-ce que tu fais ici ? dis-je intriguée .

Chifuyu : j'étais passé prendre un pote , mais je suis en avance , t'habites vers où ? me dit-il en marchant , sacs à la main .

Il l'es portaient sans aucune difficulté.

-dans cinq minutes , tu tournes à droite , de toute façon on y va ensemble . Merci de m'aider , je sais pas si j'y serais arrivée haha- rigolait-je nerveusement .

Chifuyu : derien !! mais t'abuse , c'est aussi léger qu'une plume - se moquait gentillement le blond , de la noiraude .

-je rêve ou bien ? rigolait-je .

Chifuyu : je rigole hahah - rigola-t-il .
Il s'attarda alors sur mon cou :

-Dit , il est beau ton collier tu l'as acheté ou ? me demandais le blond , tandis que nous étions bientôt arrivés .

-sa ? C'est mitsuya qui me l'as offert , pour mon anniversaire . dis-je en souriant légèrement , yeux rivés sur celui ci .

Chifuyu : alors c'était sa que tu devais aller acheter en urgence taka - murmura le blond .

𝐸𝐿𝐿𝐸 (𝑚𝑖𝑡𝑠𝑢𝑦𝑎 𝑡.)Where stories live. Discover now