Antes De Que Llegue La Muerte

• Collier d'écailles ou de grêle •

[Les musiques sont limite primordiales pour ce chapitre parce que c'est elles qui m'ont inspirée !

- You should see me in a crow, de Billie Eilish

- Jealou$y, de The Neighbourhood, Casey Veggies et Kossiko

- Gangster, de Labrinth

- Nothing without you, de The Weeknd

- River of Pouyude, de Jacob Gurevitsch

- Mount Everest, de Labrinth

- Nothing compares, de The weeknd

- I want it all, de Cameron Grey

- Take me to Church, de Hozier

Ayez l'estomac accroché les enfants, et ne détestez pas Lazaro, même si ça va être compliqué...]

Ps: vu le nombre de musiques, vous avez compris que ce chapitre est sacrément long (environ 5 500 mots) donc bonne chance💀

⚠️et si y'a des fautes, je vais les corriger dans la semaine vous en faites pas !⚠️

Chapitre neuf

~ Emilia ~

Mexico, cagibi d'une résidence inconnu, soirée du 31 décembre

La panique me submergea créant ainsi un contraste énorme avec le plaisir que j'avais ressenti il y a quelques secondes à peine.
Étais-je allé trop loin ?
Sûrement.
Néanmoins, je souhaitais connaître ses limites. Mes limites. Et à en juger le corps à mes pieds, j'avais peut-être pousser le bouchon trop loin.
Je n'avais aucun remords pour le criminel à mes pieds; sa simple présence en ses lieux ce soir faisait de lui quelqu'un de mauvais.
A présent, c'était ma sentence et la douleur qu'elle allait me faire ressentir qui m'inquiétait.

Visage impassible, je regardai le barbare retourner là où mon pantalon avait atterri pour y récupérer mon sous vêtement et y déposer le corps de l'homme mort qu'il traînait derrière lui. Il revint rapidement près de mon corps immobile puis, sans que je m'y attende, il se mît à genoux devant moi.

En baissant sa tête, ses cheveux, qui lui tombaient sur le front, frôlèrent délicieusement le haut de mon pubis me faisant frissonner involontairement.
Le géant passa sa grande main rêche sur l'arrière de mon mollet, et avec un petit pincement, il m'ordonna silencieusement de lever ma jambe.
Craignant déjà bien assez pour ma vie, je levai mon pied sans rechigner et, après avoir fait passer l'élastique de mon string noir autour de ma cheville droite, il réitéra l'action sur l'autre jambe.

Soudain, je sentis ses cheveux bouger sur ma peau sensible, au-dessus de mon sexe, signe que sa tête aussi bougeait.
Alors, en risquant un regard dans sa direction, je les vis. Ses iris d'un noir si profond que j'en dicernais difficilement la pupille.
Il me fixait avec des yeux qui reflétaient la fureur, et à ce moment précis, je pris conscience qu'il me terrifiait bien plus que ce que je n'avais voulu m'avouer.
Sa bouche n'était qu'à quelques centimètres de mon clitoris gonflé et la seule pensée de le voir lécher ma zone encore humide m'électrisai.
Cependant, pas à un seul moment il eut l'air de s'intéresser à la chatte qui se trouvait sous ses yeux.
Au lieu de ça, il remonta mon sous-vêtement le long de mes jambes nues et la sensation de ses doigts qui touchaient lentement ma peau était une douce torture qui réveilla instinctivement mon sexe encore trempé.
Merde ! Je ne tourne vraiment pas rond !