Au-delà de la tentation [ Mafia Books Series - Tome 1]

22 | Plaisir charnel

Nous voilà arrivé au supplice de la tentation. Son membre se trouve à quelques centimètres de moi et il se met à la diriger dans ma direction.

Comment faire face à ce spécimen rare ?

Il est beaucoup trop gros et surtout... Mais surtout très long. C'est la première fois que je voyais un truc pareil de si près. Enfin pour tout dire, ce n'était pas vraiment la première fois.

Me voyant en train de m'attarder à le regarder sur le choc, il m'interpelle :

— La vue te plaît à ce que je vois ?

Il me dit cela en me faisant un sourire idiot tout en me faisant un sourire en coin.

Pathétique ! Il est complètement fou.

— Donc on fait comment ? Puisque moi et Yoyo, on n'a pas que ça à faire tu sais.

— Pourquoi as-tu appelé ton pénis, Yoyo ?

— Parce qu'en un mouvement, il te fera déjà gémir jusqu'à ce que tu iras atteindre l'orgasme.

— Tu dis ça par expérience ?

— Tu es bien trop curieuse, pour une sainte nitouche comme toi.

— Qui t'as-dit que j'étais vierge ?

— Mon instinct naturel et puis je le sais et ça se voit.

— Tu te crois être le génie de la lampe d'Aladdin ?

— Oh mon Disney préféré... me sourit-il tout heureux.

— Depuis quand un chef de la mafia est-il sensible ?

— En cas où tu l'aurais oublié, j'ai des émotions et je suis un humain.

— Tout ça est étonnant !

— Tu m'achètes le DVD du film d'Aladdin où se trouve Will Smith, s'il te plaît ?

— Tu te fous de moi ! A ce que je sache, tu as de l'argent.

— S'il te plaît ? Ou sinon les figurines des personnages ?

Je roule des yeux à la demande qu'il me fait.

— Allez, je t'en supplie. Promis, je serais sage. Please ?

Il me fait sa tête de chien battu tout en s'agenouillant face à moi.

Mon dieu, on aurait dit un enfant. Je vais mourir.

— Donc ?

Je n'arrive pas à croire de ce que je m'apprête à lui répondre.

— Si tu veux, mais tu me promets de ne pas faire de bêtises ?

— Promis, maman !

— Tu vois que je ressemble à ta mère ?

— Non, mais tu es encore plus belle. Bien qu'elle était splendide.

— Était... ? Elle est morte ?

— Hors sujet ! Tu n'as pas besoin de savoir.

— Dans ce cas, tu n'auras ni les figurines, ni le DVD.

— Méchante ! Je te boude.

Toujours à genou face à moi, il croise ses bras afin de me montrer qu'il est en colère.

Pathétique !

— Oh mon bébé, tu es triste ? Viens voir maman !

Il s'approche de moi puis pose ses mains sur mes jambes tout en me caressant. Le sentant en train de remonter vers mon entrejambe, je le stoppe et lui dit :