Jusqu'à l'approche du soir, la nuit tombe.
Et bien que les cieux soient pleins d'étoiles
Qui brillent toute la nuit,
J'admire ce paysage majestueux.
Accompagnée d'une larme,
À la recherche de mon étoile
Je ne trouve pas la moindre consolation.
Les pensées s'emparent de mon esprit.
apeurée , la souffrance suprême entre en scène.
Nuages aux lames grisâtres
Qui transpercent mon âme.
Et cette ombre qui rôde,
Glissant sans bruit,
S'enroulant autour de moi.
Si silencieuse, tellement silencieuse.
Elle m'enlace, se faufile partout
jusqu'à ce que je me mette à l'entendre hurler.
Elles m'ont choisie, ténèbres de la nuit.
Elles Hurlent si fort
Que cela me prend aux tripes.