Différent mais pourtant

CHAPITRE 49

Ce fut mon sac a dos qui tomba sur le sol en premier amortissant le choc mais ma tête rentra elle aussi en contact avec le sol. Je lâchais un cris strident. Je me levais difficilement. Ma tête tourner et la douleur était tellement forte que je n'étais pas loin de tomber dans les pommes. Je m'appuyais contre le mur, et commençais à marcher. La terre tourner et il m'étais de plus en plus difficile d'avancer.

Je voyais au loin le portail du lycée. Tout ce qui se trouvait sur mon chemin me permettais d'avancer. Je franchis le seuil du portail, et j'aperçus au loin Tiago.
Une pression derrière mon crâne encore plus douloureuse que celle que j'avais déjà connu me fit perdre conscience, et la dernière chose que je vis c'est Tiago qui accourait vers moi.

Narration Tiago Puns.

Je discutais avec Julien depuis mon arrivé au lycée.

- "Mais comment cela s'est fini ?" Me demanda-t-il.
- "Je ne sais pas. Après que je sois partie de chez elle j'ai entendu son père lui dire qu'elle ne viendrait pas aujourd'hui."
- "Mais il n'a pas le droit." Dit-il.
- "On peut rien y faire."

Il se tourna de façon à être dos a moi.

- "Tu m'as pas dit qu'Elea ne devait pas venir ?"
- "Oui, il me semble que oui."
- "Regardes."

Je me penchais par dessus son épaule et j'aperçus Elea. Elle se tenait la tête entre ses mains. Elle s'écroula au sol et je partis en courant vers elle.

Je m'agenouillais a ses côtés et Julien fit de meme en face de moi.
Un attroupement d'élèves se forma autour de nous. Je me levais précipitamment.

- "Allez voir ailleurs ! C'est pas un spectacle." Ils ne réagirent pas. "Dégager !" Criais-je cette fois agressivement.

Je pris Elea dans mes bras, son corps ne réagissait pas a mes paroles et a mes légère secousse. Mon coeur battait la chamade du au stresse. J'avais vraiment peur, peur pour sa vie... Je rentrais dans l'infirmerie et une femme se précipita vers moi.

- "Poses la ici."

J'obéissais. Elle lui prit la température et l'examina. Elle mesura aussi si son souffle était régulier.
Elle lui mis un gant d'eau froide sur le front.

- "Allez en cours." Me dit-elle.
- "Hors de question que je l'abandonne !" Hurlais-je.

Elle continua de l'examinait puis elle arriva au niveau de l'arrière de sa tete.
Son visage changea d'un seul coup. Paniquais je me levais.

- "Quoi ?" Demandais-je.
- "Appelez les pompiers ! Vite !" Dit-elle d'une voix inquiète.

Sans réfléchir j'attrapais mon téléphone, appelez les pompiers.

- "Ils arrivent." Dis-je.
- "On doit l'amener à l'extérieur. Vite. "

Je n'avais même pas le courage de savoir ce qu'elle avait. Je l'a repris dans mes bras et on sortit dans la cours. Par chance les élèves étaient en cours. Le camion arriva et ils mirent Elea sur un brancard. Je m'avançais mais l'un d'eux m'arrêta.

- "Vous êtes ?"
- "Son petit ami." Mentis-je mais c'était le seul moyen de l'accompagner.

Il hocha la tête et je pris place dans le camion. Par réflexe j'attrapais sa main et une vague de chaleur m'envahit malgré les circonstances.
J'entrais dans l'hôpital et on m'ordonna de rester dans la salle d'attente. J'avais essayer de dire des excuse mais rien n'avait fonctionné.
Le médecin arrive quinze minute plus tard, un regards triste et désolé, les mains contre le corps.

- "Je suis désolé mais..."