Proie D'un Vampire [ RÉÉCRITURE ]

𝗖𝗵𝗮𝗽𝗶𝘁𝗿𝗲 𝟮𝟲

ANYA

— Tu sais que je ne savais pas que vous étiez ensemble hein .

Depuis un moment elle me tanne sur ce sujet. Dans la chambre je range mes affaires en présence en présence de ma meilleure ami. Nous avons fait du shopping, rit ensemble, pleurer mais jamais des adieux car je sais qu'on se reverra.

Nous allons aller à New York pour notre commencement, et elle va nous rejoindre pour ses études en fac.

DAVEN s'est absentée pour je ne sais quel raison alors j'ai décidée de revenir chez ma mère qui s'est aussi trouvée un copain entre temps.

Scott.

Je ne sais pas grand chose et je l'ai rencontré qu'une seule fois lors d'un petit dîner que maman à organisée à la maison.

Il est plutôt pas mal et il travaille au même service qu'elle donc je sais qu'elle ne sera pas seule en mon absence.

— Il est où, ton mec, depuis ? Demanda t-elle en regardant l'heure sur son téléphone.

— Je ne sais pas...

Sonia ne sait pas ce que c'est un vampire et Daven m'a bien expliqué que c'est la deuxième génération ne connaît pas la vraie face cachée de la ville, et que si ça venait par être su par l'un d'eux, il leur efface la mémoire.

J'ai mis longtemps à digérer cette vérité, mais que sommes-nous pas prêt de faites par amour ?

Je savais pas vraiment où est Dave jusqu'à ce qu'il réapparaisse le soir, chez moi, comme si de rien était.

Je ne lui ai pas demandé, je me suis contentée de le regarder venir vers moi et de tout me dire par lui même.

S'il ne dit rien, c'est qu'il y'a rien à dire, de toute façon il peut pas me mentir.

— Je suis allée réglé quelques derniers affaires avant notre départ? Finit-il par me dire.

— Sois plus explicite, Dada.

Il n'aime pas mon surnom vu sa tête et m'a mainte fois dit de ne plus l'appeler comme ça, mais comme ça l'énerve j'aime bien.

— Nous avons signé un accord envers les autochtones - patriarches - anciens - de la ville. Donc il était de mon devoir de les informer de mon départ, et crois moi il était très ravie.

— Sans savoir que ton frère est vivant, enfin, je veux dire encore là.

Il sourit fière le con, puis me regarde le menton lever.

— Ils pensent s'être débarrasser de moi, alors que y'a plus pire qui leur attends. Cette ville est grouillée de vampires qu'il le veuille ou non.

J'hoche la tête et il m'attire à lui pour me prendre dans ses bras, me réchauffant au passage. C'est si bon et chaud, cette sensation de bien être.

Je ne savais pas qu'un jour, j'allais aimer une personne ainsi...