[[ #CHAPITRE 28 ]]

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****LES ALLIANCES FAMILIALES****








CHAPITRE 28






















Quelques jours plus tard

























- NAHUM -
















On est tous chez Joyce.

On est choqué de ce qu'on vient d'apprendre.

Joyce a disparu.

Fin, elle est partie sans prévenir personne. Comme ça.

Genre, je l'ai vu à la soirée puis plus rien.

Sorayah dis qu'elle s'est réveillé le matin, et y'avait plus personne.

Elle a juste envoyé un message dans le groupe pour nous dire de pas la chercher, elle a besoin d'une pause et qu'elle reviendra bientôt.

GAILLARD : *énervé* J'ai envie de casser un mur. Comment elle a pu partir comme ça sans nous prévenir.

TRY : Sérieux, Joyce pourquoi tu fais ça ?

REMALIA : Laissez la, elle avait ses raisons de pourquoi elle est partie, maintenant, on doit juste l'attendre. Quand elle reviendra, vous lui poserez toutes ces questions.

BENJI : Elle aurait pu quand même nous dire, nous parler si y'a un problème.

REMALIA : Elle est célibataire, vaccinée et majeur et sans enfant ni parents. Elle a de comptes à rendre personne.

SORAYAH : *pleurs* Ah, ya Joyce, c'est à cause de moi tout ça !

- Il s'est passé quoi ?

SORAYAH : Je me suis disputé avec elle parce que Zepha l'appelle maman et pas moi. Et du coup, on s'est prit la tête.

GAILLARD : T'as vu comment tu es Sorayah, c'est de ta faute. Au fait, c'est quoi votre problème avec Joyce ?

Telle est la question.

Cette meuf nous a tous piquée.

Par son honnêteté, par son courage, par sa détermination.

Depuis qu'elle est la, toutes les vérités sortent.

C'est comme si sa présence, permettait à ce que nous nous remettons en question sur qui nous sommes réellement.

Sur tout moi.

Depuis qu'elle est là, je me remets trop en question.

Plein de sentiments reprennent surface.

Gaillard a voulu sortir mais Javan l'a retenu et il est venu s'asseoir.

JAVAN : En tant que grand frere, on doit se poser et parler. Comme a dit Rema, elle a le droit le partir. C'est vrai qu'elle aurait du nous prévenir mais, c'est son droit.

- Vous êtes fous, imaginez, il lui arrive un truc, on fait comment. On sait même pas où elle est.

GAILLARD : C'est ce qui m'énerve. Elle, en plus, elle capable d'aller encore se battre, je n'sais où.

JAVAN : Je sais que vous inquiets mais Dieu est avec elle, il ne va rien se passer. Occupez vous de vous, de vos problèmes. Joyce reviendra.

Gros blanc.

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