[[ #CHAPITRE 54 ]]

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****LES ALLIANCES FAMILIALES****









CHAPITRE 54











2 semaines plus tard

















- NAHUM -






















- De retour !

BENJI : Oui, depuis ! Toi, aussi, d'ailleurs, t'etais parti non ? Alors, ce mariage, c'est comment ?

- Ouais, je suis rentré y'a une semaine, là. On a 6 mois là, pour tout préparer et tout. En vrai, j'ai pas mal de contact, Shaddaï aussi, donc, on devrait s'en sortir !

BENJI : " Shaddaï ", hmm, le lover !

- T'es pas mieux, Monsieur appelle sa femme, " Ma Eva ".

BENJI : Ah, moi, j'assume je suis un vrai lover. J'aime ma femme. Mais toi, est ce que tu aimes ta future femme ?

- Oui.

BENJI : Bah, il faut le dire, limite le crier au monde entier.

- Je suis pas comme ça, tu me connais.

BENJI : Je sais, c'est pour cela que je dis ça.

JAVAN : Eh, les gars, bien ou bien?

Nous sommes au restaurant entre gars.

Nous avons l'habitude de venir dans ce restaurant, ensemble, entre hommes, histoire de parler, de discuter, de partager...

- Tranquille

BENJI : On est là.

JAVAN : Vous parliez de quoi ? D'ailleurs, Benji, toi maman, va te tuer. Comment ça, tu vas plus la voir, tu réponds même plus à ces appels.

BENJI : J'ai pas eu le temps.

JAVAN : C'est pas mon probleme. C'est la daronne. T'as intérêt à te faire pardonner.

BENJI : Ouais. Je vais le faire. En tout cas, nous, on parlait de l'expression des sentiments.

JAVAN : Le problème de Nahum

BENJI : C'est ça. Tu sais comment moi, je suis. Quand j'aime, je le dis et je le montre direct.

JAVAN : Vraiment. T'es trop affectif contrairement à Monsieur Nahum.

- C'est parce que je suis comme ça.

JAVAN : Bah, faut changer. Dans le mariage, il faudra dire ses sentiments.

BENJI : Une femme, faut lui dire que tu l'aimes. Encore nous, en tant qu'homme, je trouve, je sais si vous êtes d'accord mais, nous, c'est plus dans les actes. Moi, il a fallu que Shiloh me montre qu'elle m'aime rellement pour que je la croit. Tous les efforts qu'elle a fait-

- *rire*Quand tu lui as enlevé la bague, là !

BENJI : *sourit* Ne ris pas. Sérieux, après, ça a permi qu'elle change et qu'elle se rende compte de la réalité des choses.

JAVAN : J'avoue qu'elle a bien changé, depuis qu'elle est avec toi.

- Je sais. Avec Shaddaï, je-

JAVAN / BENJI : Ouhhh, Shaddaï !!!

- Vous êtes des enfants !!!! Avec ma beauté, j'y arrive un peu plus, vous voyez, je fais des efforts et c'est plus fluide. Je ne me force pas en fait, c'est ça qui est bien.

LES ALLIANCES FAMILIALES Where stories live. Discover now