[[ #CHAPITRE 51 ]]

994 117 16
                                    

****LES ALLIANCES FAMILIALES****






CHAPITRE 51












Nous arrivons dans le bureau. Je laisse Shaddaï prendre place.

Papa Jean s'asseoit aussi et commence à parler.

PAPA JEAN : Je suis heureux que vous vous êtes réconcilié.

SHADDAÏ : On faisait juste une pause.

PAPA JEAN : Une pause, mais vous vous parliez pas. D'ailleurs, tu sais comment, Mama Ruth t'a parlé.

SHADDAÏ : Oui, oui, papa.

PAPA JEAN : Pareil, Nahum, nous deux aussi, on s'est parlé.

Je dis oui avec la tête.

PAPA JEAN : En tout cas aujourd'hui, on va prier ensemble. Je vais vous donner des prières, des conseils, pour que cette période de fiançailles se passent bien et dans la volonté de Dieu. Ne soyez pas pressés, Dieu lui même, connaît les plans qu'Il a formé sur vous.

Alors, on a commencé à parler.

PAPA JEAN : Une chose aussi, vous devez vous faire confiance. Parlez, et libérez votre cœur à la personne qui vous aimez. Dites vous les choses concrètement. Si y'a un secret dites, parce qu'après, si vous attendez le mariage, c'est là, qu'il y a des mauvaises surprises. Oh, en vrai, le gars en question était une femme, oh la femme en question est sorcière. On veut pas ça. Vous êtes arrivé à un stade où ça fait longtemps que vous vous fréquentez donc dites vous les choses. Vous savez déjà que vous êtes fait l'un pour l'autre.

- Oui, Papa t'as raison.

PAPA JEAN : Bon, on va prier après je vais vous laisser un temps tous les deux, pour parler. Je suis là, et je vous surveillerai pour pas que vous tombiez.

SHADDAÏ : Papa !

PAPA JEAN : Les jeunes d'aujourd'hui, vous êtes trop chaud, chaud !

Je ris de gene et Shaddai fait de même.

PAPA JEAN : Avant que j'oublie, n'allez plus l'un chez l'autre, ça sert à rien et vous allez tomber pour rien. Si vous voulez vous voir, allez dans un lieu public ou à la maison. Vous êtes prêts du but, ça serai bête de tomber pour rien. Bon, prions.

On s'est mis à genou, et nous avons commencé à prier.

C'était intense et je sentais l'esprit de Dieu en moi.

Shaddaï me tient très fortement la main.

Elle prit aussi.

Nous avons donc commencer à prier pour notre mariage.

Papa Jean a déclaré des paroles d'amour et de bénédictions pour nous.

Puis au bout d'une demi-heure, nous avons terminé.

Papa est sorti, nous laissant seuls afin de parler et de se confier.

SHADDAÏ : Eh, je sais pas toi, mais j'ai ressenti ma présence de Dieu.

- Moi, aussi, c'était puissant.

SHADDAÏ : Ouais. Bon, comme on doit chacun un peu se confier, je veux te dire quelque chose.

- Vas y, je t'ecoute.

SHADDAÏ : J'ai perdu un ami, Marcus. C'était mon ami, mon bras droit. Fin, je le kiffais beaucoup. Je sais plus, si je te l'ai déjà dit, mais je veux que tu le saches.

LES ALLIANCES FAMILIALES Where stories live. Discover now