Chapitre 27

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Il vint la déposer sur le tapis et retira sa chemise , avant de se placer au dessus d'elle et déchirer sa robe.

Elisa hoqueta, choquée par ce geste mais elle voulait qu'il se montre sous son vrai jour, et c'est ce qu'il faisait à son plus grand plaisir.

Zayn se pencha et happa un de ses seins. Elle cambra son dos et glissa sa main dans ses cheveux, il mordilla l'extrémité de son téton et Elisa gemissa.

Il descendit sa main jusqu'à sa culotte, et lui arracha d'un mouvement brusque. Il alla ensuite à la rencontre de son intimité et y posa toute sa paume, comme pour lui montrer que son corps était sa possession.

Zayn commença à titiller son clitoris en faisant des mouvements circulaires sur celui-ci. Elisa gemissa encore plus fort, et il remonta sa bouche jusqu'à son oreille.

Il arrêta tout mouvement, et Elisa grogna de mécontentement. Il lui susurra alors à l'oreille :

- À qui appartiens tu corps et âme amor mio?

-A toi... Lâcha t-elle dans un souffle quand il fit entrer son doigt dans son vagin.

-Redis le . Dit-il en y faisant entrer un autre doigt.

-Je...Ahh...je t'appartiens . Cria t-elle, alors qu'il accélérait ses mouvements.

Il remonta alors sa bouche jusqu'à son cou et le parsema de baiser , tout en enfonçant ses doigts de plus en plus vite en elle.

Elisa cria et enfonça ses doigts dans son bras libre. Elle essaya de serrer les jambes pour échapper à son emprise, mais il l'en empêcha aussitôt.

Zayn s'arracha de sa gorge, fière de lui avoir laissé des suçons encore une fois.
Elle était déjà toute humide et cela gonflait encore plus son égo.

-Ohw ... Zayn ! Cria t-elle avant qu'il écrase ses lèvres sur les siennes.

Il l'embrassa langoureusement en étouffant ses gémissements, et il mordilla sa lèvre inférieure avant de la retourner.

Aussitôt, il ramena ses fesses à lui, et elle cambra son dos à son plus grand plaisir. Il empoigna ses fesses, et sans plus attendre , d'un coup impérieux il enfonça son membre en elle en lâchant un râle de satisfaction.

Elisa poussa un cris strident et Zayn serra les dents en rejetant sa tête en arrière. Elle le rendait si fous , qu'il sentait le désir qu'il avait pour elle affluer à toute vitesse dans ses veines.

Il entama des mouvements lascifs et grogna avec force, quand il sentait son intimité se resserrer sur son membre.

Il lui mit une succession de fessées et cela eut pour résultat d'augmenter encore plus le désir de sa belle, alors elle cria à plein poumon.

Zayn saisissa ses poignets et les ramena dans son dos d'une main, et de l'autre tira ses cheveux pour qu'elle se penche un peu plus vers lui de façon à ce que son dos soit collé au sien.

Ses coups de reins devenaient beaucoup plus vigoureux et intenses. Elisa sentait son ventre se tordre de plaisir, elle aimait cette version de lui, elle aimait être autant à sa merci.

Elle comprenait maintenant pourquoi il avait tant besoin de tout contrôler que ce soit au niveau du sexe, que dans la vie quotidienne.

Zayn encercla alors sa poitrine de son bras, et lâcha une flambée de jurons à l'oreille d'Elisa. Elle lui faisait perdre le contrôle et il se demandait sincèrement s'il pourrait s'arrêter.

Elisa sentait un orgasme puissant la foudroyer et des larmes de joies coulèrent sur ses joues. Elle se sentait vivante avec lui.

Il la faisait se sentir désirée à chaque instant et elle se sentait infiniment confiante à ses côtés.

C'est dans un dernier coup de rein qu'ils se laissèrent tous les deux aller aux portes de la jouissance.

Les deux avaient le souffle court , mais Elisa remarqua qu'il n'avait toujours pas retiré son membre d'elle et la minute qui suivait il la souleva, son sexe toujours niché dans le sien.

Il alla la poser sur le lit et posa sa tête sur sa poitrine, et ses bras en dessous de son dos. Elisa lui caressait les cheveux quand elle remarqua un détail.

-Mais tu as des traces de griffures sur le dos chéri... dit-elle honteuse.

-Ah bon? Je ne sens rien pourtant. Repondit Zayn la tête toujours posée sur sa poitrine.

-Je suis désolée, je ne voulais pas te...

-Non , ne t'excuses pas mia cara je t'ai dit que je ne sentais rien. Ce n'est pas grave.

L'obsession du dominant Where stories live. Discover now