𝟑.𝟎

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Salem Aleykoum 🤍

Salem Aleykoum 🤍

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Fahim
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Je compte chacune des liasses devant moi sans m'arrêter, si il y'a bien une chose que je puisse faire correctement dans ma chienne de vie c'est m'occupé de mon business. Je termine et remplie toute les mallettes, j'attrape une liasse et la met dans ma sacoche.

Je termine et descend chaque mallettes dans ma voiture puis je remonte et ferme l'appartement, j'envoie un message. J'arrive chez moi quelques minutes après, je monte les mallettes dans mon coffre fort bien cacher dans ma maison, personne ne connaît ça cachette mise à par moi.

Aucune personne ne doit connaître cette endroit, j'y garde mon argent propre et salle, mes armes et ma marchandise. Je ne fais confiance à personne pour laisser une personne connaître ce secret.

Je pose ma main sur le mure et tout se referme comme si de rien était. Je nourri les trois animaux et retourne à l'appartement, parfois mes journées sont tellement rempli que je ne peux pas me permettre de respirer et d'autre sont plus calme.

Sakarya - il entre dans l'appartement et dépose la marchandise sur la table je me suis embrouillé avec Les Sablons, ils s'amusent à prendre toute les marchandises pour les revendre, je suis partie récupéré tout ce qui nous appartenait avec un bon coup de pression.

- J'allume un joint prochaine fois, tu prends l'un d'eux comme pression et si même comme ça il comprenne pas, je me déplacerai. Ce soir tu distribue les salaires et tu leurs redonnent de la marchandise, fin de semaine je veux que tout soit partie.

Sakarya - il s'assoit vas-y, t'est partie ou hier soir ?

- Régler un truc.

Sakarya - t'es partie voir ta pute ?

- Non.

Sakarya - je me disais que t'allais pas quitter tes affaires pour elle, vas-y crache le morceau.

- Je crache ma fumer vers lui tu vas me casser les couilles pour rien.

Sakarya - il sourit t'es parti voir la petite à Saïf ?

- ...

Sakarya - je prend ton silence comme un oui, raconte moi tout, il dépose le charbon de sa chicha.

- J'ai rien à raconter, je suis partie la récupérer et elle a dormi chez moi.

𝐇𝐢𝐧𝐝𝐚𝐲𝐚 : « 𝐦𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 ».Where stories live. Discover now