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Chapitre 12

Hey guys!

J'espère que tout baigne pour vous.
Contente de vous retrouver pour ce nouveau chapitre !

⚠︎⚠︎Ce chapitre contient des scènes de meurtre.

Bonne lecture 💋 !!!

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...
_Dimanche...

Washington_chez Aéna

PDV Aéna

BIP-bip-bip...BIP-bip-bip...

Les yeux fermés, je tâtais ma table de chevet pour trouver mon téléphone à l'aide de mon toucher. Je le saisis en suite et entrouvris mes yeux pour tenter d'éteindre cet alarme qui coupait mon sommeil.

03 : 20

C'était l'heure qu'affichait l'écran de mon téléphone. J'avais donc eu droit à 3 heures et 20 minutes de sommeil, exactement. Et j'avais encore très sommeil.

— Merci Vlad, d'avoir donner des missions à faire si tôt. dis-je à moi-même en me levant de mon lit.

Je me dirigeai vers ma douche pour me brosser les dents et me rincer le visage. J'avais choisi de porter une tenue qui ressemblait un peu à celle de mon ancienne mission mais le bas était plus près du corps.

J'arrangeais mes cheveux en chignon bas et portais mon masque. Je pris ensuite les clés de la voiture que Sander avait laissées sur ma table hier soir et sortis de ma chambre.

D'habitude, je porte mon masque dans la voiture, en chemin. Mais comme la dernière fois, c'est moi qui conduis. Il ne fallait donc que rien ne me perturbe. Donc, je vais le mettre maintenant, avant de sortir de la maison.

Je n'arrivais toujours pas à croire que j'avais réussi à conduire. Merci à tous les tutoriels illégaux que j'avais regardés étant petite.

Mon père avait déposé les cartons de drogue et autres cigarettes, sur la table de la cuisine. Je chargeai la malle arrière de la voiture et m'en allai.

...
_15 minutes plus tard...

Washington_Grand Hyatt Hotel

PDV Nia

J'étais arrivée pile à l'heure. La route était libre. Tout était silencieux. Normal, parce que tout le monde dormait. D'ailleurs, les seules lumières qui sortaient de l'hôtel venaient de la salle de réception et de quelques rares chambres.

Je vis un engin arrivé en même temps que moi et garer juste à côté de moi. C'était Anton. Comme la dernière fois, sa moto avait un sac attaché à l'arrière. Je me demandais toujours ce qu'il contenait. Nous étions garés dans une ruelle sombre en face de l'hôtel. Personne ne pouvait nous voir, s'il n'était pas proche.

J'ouvris la portière de ma voiture et en sortis. Mon regard et celui d'Anton s'accrochaient sans que personne ne parle. Mais le sien était plus ténébreux, comme d'habitude... C'était comme s'il n'aimait pas ma présence.

«Ta présence me dérange.»
avait-il dit au jardin.

Moi non plus, sa présence ne m'enchantait pas. Et nous devons faire avec.