Au commencement, Daouda Ly n'était qu'un malfrat au cœur de glace. Il fit de Oumou Kalsoum sa proie et elle a fait battre son coeur avant qu'il s'éloigne. Par la suite, il est devenu le Grand Patron.
La question était de savoir s'il pouvait se perme...
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Histoire de vous donner un aperçu de la bande.
Ce rêve avait très certainement une signification particulière. Bon après il n'était pas interprète de rêves. Il aurait été préférable de lui expliquer clairement la signification de tout ça. Heureusement à l'heure actuelle il ne ressentait plus l'envie de lui faire de la peine au risque d'en souffrir. D'un côté elle pouvait avoir l'esprit tranquille sa cruauté n'avait pas attend le niveau de forcer une femme. Et puis il se dit que celui qu'il était avant aurait été capable de dire la vérité, enfin de dire ce qu'il éprouve réellement pour elle. Tandis que lui pour rien au monde n'allait dire quoi que ce soit. À quoi bon si après il se tire et puis il espérait que tout ça soit passager au risque de faire souffrir cette femme. Et au passage perdre du temps inutilement.
Il passa à sa chambre pour la voir, et comme dans son rêve, elle était entrain de prier.
_ Bien-sûr !
Il quitta la villa sans rien dire. Vers l'après-midi il était en route pour retrouver ses frères pour une très longue fin de journée même s'il sait d'avance que le sujet sera exclusivement centré sur un sujet qu'il ne maîtrise guère. Il devait s'éloigner de cette fille pour mieux y voir car il était clair que ce n'est pas en restant dans le même environnement qu'elle qu'il va l'enlever de son esprit. Dave débarqua dans l'une de leur planque et ils étaient tous là. À l'exception de James et de Ahmada.
Arona : Hum c'est quoi cette colère ?
_ Ta gueule !
Arona : Tu ne m'aimes plus c'est triste. Mais aujourd'hui je te fiche la paix, c'est pas facile. Elles sont toutes pareilles faites pour nous rendre fou, c'est énervant.
_ Ferme là Arona.
Ce dernier souria en lisant sournoisement dans ses pensées. Elles ne lui disaient rien qui vaille.
Falilou : Fiche lui la paix man.
Abdel : Tu aimes vraiment le narguer !
Il essayait surtout de calmer l'atmosphère qui était pesante avec l'arrivée de leur leader.
Salif leva les yeux vers lui en le défiant du regard et à peine si il l'avait regardé.
Momo : Aly fait quelque chose bro ! Je sûr que tu détends mieux l'atmosphère que ce mec.
Il faisait allusion à Abdel qui c'était grave planté. Aly se leva alors et m'y de la musique à fond.
Salif : Nono ! Pas celui là.
Aly : Ah ouais ?! Je peux savoir c'est quoi qui cloche ?
