The Race To Your Heart. (One shot)

Pierre - Monsieur et Madame Gasly

Attention.
Ce chapitre peut heurter la sensibilité. Pour violence, language cru et agression.
Ne romantisez en rien les actes dans cette histoire.
(Faites ce que je dis pas ce que je fais)

La mafia.

Bien que violent, et sanglant ce milieux connaît l'amour. Enfin, si on peut appeler ça de l'amour. Tu étais la fille d'un chef de famille connut pour sa cruauté. Tu avais vécu 20 ans de ta vie auprès d'une famille qui se voulait aimante mais qui en était tout le contraire.
Cependant quelque chose te disait que malgré sa froideur. Ton père t'aimait.
Jusqu'à ce qu'il te mari à Pierre Gasly.

La famille Gasly est une branche de la mafia française autre que la vôtre. Une branche qui n'hésitait pas à entrer en conflit avec vous.
Mais trop de conflit faisaient couler trop de sang et la police passait difficilement l'éponge.
C'est pourquoi tu es désormais la femme de Pierre Gasly. Une tentative de fusion de la part de vos deux familles.
C'est évidement un mariage sans amour et dans lequel les époux se détestent.

- Je sors. Dit Pierre de façon froide.

Tu étais assises sur le canapé du grand salon. Alors qu'il parlait en ajustant sa veste.

- Tu va où ?

Cette tentative était inutile. Mais tu voulais savoir. Tu haïssais Pierre et voulais lui rendre la tâche compliqué.

- Ce ne sont pas tes affaires. Son intonation était rude. Et même acerbe.

Tu te leva du canapé. Déterminée à ne pas te laisser faire.

- Je suis ta femme. Tu lui montra la bague énorme à ta main. J'ai le droit de savoir où est ce que tu te rend.

- C'est le cadet de mes soucis. Je fais ce que je veux.

Son ton était froid, impitoyable. Tu savais pourquoi il sortait et ne te gardas pas de lui faire savoir.

- Pour aller baisez tes espèces de cougars. Génial.

C'était surtout ton sarcasme qui était vicieux. Il se retourna vers toi avec une colère flagrante.

- Qu'est-ce que tu as dis ? Demanda Pierre pour voir si tu allais avoir le courage de répéter.

- Tu m'as très bien entendu.

Il s'approcha de toi. Pour t'attraper et te tirer violemment contre lui.

- On va voir si tu fais encore la maligne pour longtemps.

- Je croyais que tu devais sortir.

Un simple regard ennuyé de ta part lui fit comprendre que tu testais ses limites. Et il n'allait pas se laisser faire. Ce petit jeu plaisait à chacun d'entre vous.

- Ta gueule. Il te regardait de bas en haut. Y'a quelque chose qu'on va faire. Tout de suite.

Il s'approcha dangereusement de tes lèvres. Son souffle chaud caressait ta nuque. Mais tu ne l'embrassa pas. Pas tout de suite du moins.

- Tu pensais réellement que ça allait si simple Pierre ? Tu devais partir tu te souviens ?

- Peut-être... mais pour l'instant je vais m'occuper de toi.