Chapitre 7: Fais moi vivre !

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-Le souvenir , c'est la présence invisible -

            -Victor Hugo-

- Alley, fais moi vivre! Aujourd'hui je veux que tu fasse de moi une femme! Susurra une jeune femme, assis à califourchon sur le corps d'un blondinet.

Elle se tortillait sur lui, frottait son bassin sur l'emplacement de l'intimité du jeune homme. N'importe quel homme ne pourrais resister à une bombe comme elle. Ses longs cheveux crépus noir collait à sa peau bruni par une longue séance de bronzage à la plage. La faible lumière diffus par la bougie sur la table de chevet l'excitait encore plus. C'etait viscéral pour elle de désiré autant cette homme. Àprès 5 ans de relation elle se réjouissait de pouvoir faire gouter le bonheur d'une bonne nuit de plumage intense à l'homme qui faisait battre son coeur.

Lentement elle fit glisser une manche de sa belle robe, couleur bordeaux, sur son epaule. Elle jeta un regard mielleux à son compagnon en attente d'une quelconque réaction pouvant l'exhorter à continuer. Ce fut vaine. Raide comme un balais, un flot de sueur s'ecoulant de sa peau, le jeune garçon n'osa levé ne serais-ce que le petit doigt pour expliqué la situation à sa copine,l'épicurienne maudite . Cette femme là avec son tempérament rieur et sa passion pour les plaisirs charnelles ne comprenait pas le manque de réaction de son copain. D'habitude celà fonctionnait toujours. Mais pas cette fois. Aujourd'hui semble être le jour où elle meneras un vrai combat contre la luxure.

Fatiguer de toutes ses prolixes redondantes et exaspérantes,elle ota d'un coup sec sa robe qui se déchira sous le coup . Elle n'en avait que faire de la tendresse. Sur le coup elle en oublia ses principes. Ne jamais continuer si l'homme ne renvoie aucune réaction. C'etait sa philosophie. Cependant elle decida de la mettre de côté pour ce soir et de profiter de son mec, que celà lui plaise ou non.

L'excitation prenait  posséssion de chaque parcelle de son esprit et de son corps, elle transpirait de chaques pores qui habillait sa peau. L'épicurienne audacieuse détacha son soutient gorge et laissait ses précieuses ballons d'or balancer à l'air libre, à la vue de tout être vivant dans la pièce. Halletante, elle essuya son front. Dans ses iris cacahuètes brillait l'immuable envie d'aller plus loin.

Elle attrapa une elastique sur la table de chevet et attacha ses cheveux en une queue de cheval basse. Son regard vitreux de désir s'attarda sur le chemisier cachemir de son compagnon. Une folle envie de le déchirer la prit et ayant perdu toute bon sens, elle le fit. D'un coup sec elle tira sur le chemisier dont les boutons s'arrachèrent et s'éparpillèrent sur le lit. Le jeune garçon déjà mal à l'aise, balbutia quelque paroles en triturant ses doigts.

- Jessica, je pense qu'on devrait en rester là. Tu es complètement ivre et je ne voudrais pas que tu fasses quelque chose que tu regretteras le lendemain.

Il le savait. Il savait que quelque chose clochait avec son corps. C'est pour celà qu'il n'a jamais vraiment voulue emprunter le chemin insidieux qu'est le sexe. À ses yeux il etait inconcevable pour lui de coucher avec une femme. Pourquoi ? Tout simplement parce que son organe ne répondait pas à l'appel de sa petite amie et qu'il ne voulait pas dévoiler son secret.

En entendant celà elle eut une monté en grande pompes d'exitation . Elle enleva précipitemment son bas et se déchaussa avant d'en faire de même pour son petit ami qui tentait de l'arrêter.

À présent entièrement nu, elle s'apprêta à chevauché son petit ami mais ce dernier l'esquiva et descendit rapidemment le lit . Il enfila son boxer mais n'eut pas le temps de se revêtir complétement qu'un poids s'ecrasa sur lui et ils tombèrent sur le plancher qui grinça à cause de leur poids.

Elle ne lachais rien , malgré la résistance du blondinet, elle etait déterminé à coucher avec lui ce soir. Qu'il le veuille ou non.

À force de se débattre, l'une des mains du jeune homme heurta le visage parfaitement découpelé de la brunette. Un splash retentit dans la pièce et la jeune femme recula en se tenant la joue de sa main gauche.

Ses yeux s'écarquillèrent et elle semble avoir enfin repris ses esprits. Une sueur froide déscendit le long de sa tempe alors que des larmes glissait sur sa joue et tombèrent sur ses genoux dénudés.

- Jessie , est-ce que ça va? Cria le jeune blondinet à l'intention de la femmelle en chaleur qui s'etait figé.

Dire qu'il regrettait serait un douleureux euphémisme. Il aurait dû céder et obéir à la jeune femme plutôt que de résister et de lui faire mal par la suite.

Elle restait figé, ageunouillé par terre avec les larmes qui mouillaient ses cuisses. Elle ne bougeait pas. C'etait comme si son cerveau avait beugé. Peu importe le nombre de fois que le blondinet l'appelait, elle ne scillait pas. Et c'est ce qui l'inquiéta encore plus.

Le jeune homme entreprit de la réveiller alors il la secoua un peu mais au lieu de reprendre ses esprits elle vacilla et tomba sur le sol en entrainnant le jeune garçon dans sa chute.  Elle etait maintenant en dessous de lui, et lui au dessus, ses mains disposé d'une part et d'autre du corps de la jeune femme. 

Mais soudainement la porte s'ouvrit. Une dame dans la quarantaine, les cheveux long et noirs  laché en cascade dans son dos, pénétra dans la pièce. Ses iris grise parcourait la pièce et examinait tout les détails avant de s'arrêter net et de fixer un point devant elle.

Un blanc passa et pendant quelque seconde un mutisme de cimetière envahit la pièce. Pas une mouche ne volait et personne ne bougeait. Les pupilles de la dame se dilatèrent de surprise avant de s'ecarquiller, choqué. Elle regardait sa fille dans une position affligeante, complètement nue, qui pleurait.

Brusquement, la jeune femme eclata en sanglot. Elle pleurait et hurlait en se débattant et repoussa le jeune garçon sur le coté. La dame acourra près de sa fille pour regarder et vérifié ses soupçons.

- Jessie qu'est-ce qui se passe? Qu'est-ce qu'il t'a fait? Essayait-il d'abuser de toi? Questionna t-elle paniqué, son regard bienveillant allant de sa fille au jeune homme qu'elle renvoyé un regard dédaineux.

- Maman, il à voulue me violer!

Et la bombe eclata! S'en etait fini de lui. Rien ne pourra le laver à présent. Il regarda la scène choqué, d'où la jeune femme continua de pleurer et de l'accuser à tort. C'etait le début de sa descente aux enfers.

À suivre! 

Three Wishes for Christmas  🌹 [En Cours +En Réecriture ] Onde histórias criam vida. Descubra agora