Entendez-vous ?
Écoutes-tu le rêve qui nous a mené ici ?
Mon visage dans le labyrinthe ne tombe pas à Paris, nous ne pouvons pas voir notre nôtre dans le miroir face aux éclats. Le chant est entré, lançant entendre la cérémonie, et les doux frissons s'éteignent au profit du prolétariat. Est lentement, bizarrement, brisait au son de la haine. L'obscurité enveloppa son esprit qui se devora en scène. Nous ne pouvons pas voir notre visage dans son esprit avant de l'oublier. Ma porte reste ouverte, mon cœur brûlait à nouveau et l'autopsie continuait. Le bus de la mort nous attend et essaie de nous happer. Pour entrer en enfant, nous irons appeler les princes des musées. Nous nous balançons tous tout autour dans la douce chaîne. Cette chaîne qui s'enroulait et s'enroulera qui faisait taire.
Le sens même de la vie du reclus,
L'essence même de nos vies n'est plus.
Ju - 20 novembre 2023
YOU ARE READING
Quand les Fleurs se Fanent
PoetryDans ce recueil de poèmes, j'explore l'art des rimes tout en tissant des récits qui parcourent toute la gamme des émotions. Les pages de ce livre dévoilent des histoires, tantôt empreintes de joie éclatante, tantôt empreintes de mélancolie profonde...
