Je voudrais te dire combien je t'aime,
Tu es restée à mes côtés un moment.
Dans ma tête, j'espère que tu me crois de même.
Au fond, je ne te trouve pas odieuse finalement.
Je te souhaite le meilleur à chaque instant,
Te remerciant comme nul autre pareil.
Aimer, est-ce un crime ?
Au moins, nous coalesçons comme au jeu d'échecs futiles.
Avec toute cette beauté qui émane de toi,
Je sais que mon cœur est en sécurité.
Il ne se brisera pas car tu es parfaite à mes yeux de soie,
Et puis, j'ai reçu cette flèche de démence aimante hantée...
Le vent souffle sur ton visage,
Ils ont une grande dignité, ces petits humains.
Mâture acquise malgré ton jeune âge,
Façonnée d'expérience, de tes propres mains.
Brillant comme un bijou,
L'amour existait déjà quand nous avons commencé.
Ju - 1 mai 2024
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Quand les Fleurs se Fanent
PoetryDans ce recueil de poèmes, j'explore l'art des rimes tout en tissant des récits qui parcourent toute la gamme des émotions. Les pages de ce livre dévoilent des histoires, tantôt empreintes de joie éclatante, tantôt empreintes de mélancolie profonde...
