𝑭𝒂𝒕𝒆𝒉 & 𝑫𝒋𝒆𝒏𝒂𝒃𝒆 | : « 𝑃𝑎𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑥 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒́𝑝𝑖𝑡 »

~𝟻𝟻~

(Réécriture complète. C'est mieux de la relire)

~𝟻𝟻~
(Une partie pour ma go, c'est cadeaux 🎁 écrit dans la fatigue j'espère qu'elle est quand même bien 😂)

ᦔ᧒ꫀ᭢ꪖꪉꫀ

Je me réveille. J'ouvre mes yeux et prends le temps d'observer où je suis.

Je suis dans mon lit, et cette fois-ci, avec la grosse tête de Fateh bien enfoncée dans mon cou, je sent son parfum qui me chatouille les narines, sa bouche et sa respiration chaude qui m'effleure la peau.

On est tellement collé l'un à l'autre. Comme si notre vie en dépendait, c'est trop grave.
J'ai une jambe entre les siennes et l'autre par-dessus sa jambe du haut. Je suis trop bien installé même si ça me brûle la gorge de le dire.

Je sort de mes pensée et prends un peu de distance pour pouvoir voir son visage, je l'observe, lui et son beau visage. Je ne peux pas m'empêcher de passer ma main sur son visage et de re dessiner du bout des doigts chaque trait de son visage. Je suis trop fan.
Déjà qu'il est beau normalement, mais quand il dort, je peux mourir. Tout ça pour moi. Quel grâce.

Je reste un moment comme ça, la tête complètement ailleurs, jusqu'à ce que je le sente bouger. À ce moment-là, je l'ai poussé bien fort et je me suis levé :

𝐅𝐚𝐭𝐞𝐡 : ??

ꪑꪮỉ : ...

𝐅𝐚𝐭𝐞𝐡 : pourquoi tu m'as poussé ?

ꪑꪮỉ : pour te réveiller ??

Je ne prend pas la peine de lui accorder un regard, je vais me laver le visage, les dents et je reviens dans la chambre. Fateh part à son tour, pendant ce temps, je fais ma prière et je repars me coucher. Je regarde mes notifications sur mon téléphone en attendant qu'il revienne me divertir. J'ai même fini par l'oublier mais finalement j'ai remarqué la présence de Fateh quand il est venue se coller à moi :

ꪑꪮỉ : *je baisse le regard sur sa tête* si tu te décolles de moi, tu meurs ?

𝐅𝐚𝐭𝐞𝐡 : *il m'ignore*

ꪑꪮỉ : en tout cas

Je réponds à mes messages pendant que Fateh s'installe confortablement sur mon lit, la tête bien installée dans ma poitrine. Quand j'ai senti sa tête se poser sur mes seins, je l'ai mal regardé. Lui il est alaise et alaise. Qui l'arrête ?

Il est tellement à l'aise dans sa bêtise. Je le laisse sur son portable mais je le regarde du coin de l'œil envoyer des messages à Amine comme si c'était lui sa copine :

ꪑꪮỉ : Amine, il a des choses à dire ?

𝐅𝐚𝐭𝐞𝐡 : ouais, vite fait

ꪑꪮỉ : ...

ꪑꪮỉ : tu préfères moi ou lui ?

𝐅𝐚𝐭𝐞𝐡 : c'est quoi cette question ?

ꪑꪮỉ : ba répond

ꪑꪮỉ : répond vite vite vite

𝐅𝐚𝐭𝐞𝐡 : t'est tellement chiante

ꪑꪮỉ : si tu n'as pas dit moi, c'est que c'est lui, comme c'est lui que tu vas embrasser, c'est bien