Chapitre 24 : sous la mer

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Bonne lecture : )

Chapitre 24 : sous la mer.

''Je l'ai tuer.''

***

''Oh Eli..''

Brad, il arrive vraiment au mauvais moment! Maintenant il va me prendre pour une dépressive.

Bah c'est lui qui ta sauver du suicide au fait.

Oublions ce détail sans importance!
Je baise finalement les prunelles, ne supportant l'océan de ses yeux, qui aurais dis qu'un jour j'aurais aimer des yeux comme celle de petit con!

''Eli.'' répète t'il, ''Viens.''

Surprise, je soulève ma tête du tableau. Il reste la, m'ouvrant ses bras, son geste me touche, plus qu'il en faut. Mais je ne vois pas pourquoi j'accepterai son soutien. Je vais parfaitement bien moi, c'est juste que je pleure pour rien.

''Je commence à avoir mal au bras...'' se plaint'il avec une grimace adorable.

Je ne sais par quelle miracle il a réussi à me dessiné un sourire malgré ma tristesse, qui est ce garçon?

Je fini par poser la toile et m'approcher de la façon la plus long et chiante possible. Une fois en face de lui je sens que sa respiration s'accélère. Ça ne devrait pas être l'inverse ?

Il me serrè sous son étreinte comme si c'était la dernière fois qui le fesais, comme si j'allais m'échapper. Sa chaleur me réchauffe le cœur, j'aime me sentir contre lui

''Raconte moi.''

Je crois que jamais sa voix à été aussi douce et gentil. Elle sone en éco dans mon cerveau. La question que je redoutais.

2 ans en arrière :

Enfin il lèvent leurs gros boules ! C'est toujours moi qui est à l'avance de toute facon. (Notez le sarcasme.)

''Mais maman, si vous continuer on va arriver en retard!" je me plains.

''La mer ne va pas s'envoler, par contre la crème solaire c'est important! Donc arrête té tes enfantillages sinon on ira nul part.'' répond-elle lassé par mon comportement.

Impossible, je suis trop excité pour me calmer. J'adore la plage, le soleil, les tablettes de chocolat, le bronzage. Même si j'ai jamais le résultats que je veux le résultats parfait. Le parasol qui le protège non entièrement de la chaleur qui peu être brûlante, le sable doré brûlant, les cocuages tous différents.

Le pardis, malgré la chaleur des fois.

''Eli!'' apostrophe t'elle, ''Eli!' elle commence à s'énerver. ''Emili triler! tu viens ici.''

Pff je dois me lever marcher, parlée , c'est fatigant a la fin! Y'a que moi qui fais tout dans cette maisonnette de toute façon.

C'est ça oui.

''Prépare Théo, et la prochaine fois que je t'appelle tu viens avant que je père la voix! Que ce que j'ai fais pour mériter une fille pareille.''

C'est fou, elle se plaint constamment, que ça devient gavant.

Comme toi.

Même pas vrai!

****

''Aller, viens avec moi! J'aime pas nager sans aucune compagnie.'' il me fait les yeux doux.

'' Trouyard, j'arrive.'' je répond sur un ton monotone.

Pas SimpleWhere stories live. Discover now