Les yeux mauves.

En danger...

Je m'étais sacrifiée pour Max mais maintenant j'étais dans de sals draps ! Les policiers se jetèrent sur moi. Ils m'encerclèrent, je me débatais, et je sentis un poigne me tenir le bras. Un frisson me parcouru. Je la connaissais ! C'était mon père. Je voulu crier mais on me planta une Seraing dans le coup et me versait un liquide dans le sang. Ça devait être du Sédatif car je perdit de plus en plus l'équilibre. Ma vue se brouilla peu à peu ainsi que mon ouïe qui devenait de plus en plus faible. Je voulu crier à l'aide mais aucun son ne sortit de ma bouche. Puis je perdis complètement connaissance.
Je me réveilla enchaîner à une chaise. Je voulu me débattre, crier mais tous mes membres étaient encore endormis. Quand j'ouvris un peu plus les yeux, je me rendis compte que je n'étais plus à l'hôpital. J' entendai la porte derrière moi grincer. Quelqu'un rentrait! A première vue c'était un homme. Et quand il se positionna devant moi, je reconnu mon père.

Moi - Qu' est ce que tu veux ?

M P - Tu n'as pas l'air de comprendre que je fais ça seulement pour ton bien !

Moi - Pour mon bien ! C'est une blague ? Je ne suis pas malade pour ton information.

M P - Je sais, tu as un don, je l'ai toujours su d'ailleurs. Mais certaines personne pourraient se servir de toi. C'est vrai tu ne peux comprendre car tu ne les connais pas. Et maintenant que je te l'ai dit je risque moi aussi un grand danger. De plus, je ne pense pas que tes amis soient au courant non plus. Alors je vais te laissé le choix. Soit tu deviens une branix soit tu restes une spartis en sachant que tu sera en danger tous les jours.

Moi - Sans hésiter une spartis!

Mon père avait l'air déçu que je fasse ce choix, mais, après tout il me l' avait proposé.

M P - très bien.

Il me détacha.

M P - Tu peux partir. (il avait vraiment l'air triste) Adieux.

Moi - Adieux papa

Je partis, en fait j'étais au sous-sol de la maison communale. Qui était très poussiéreux d'ailleurs. Le bois était jaunie par le temps et je crois même avoir avoir croisé un rat. Ce qui me surprena le plus c'est que au milieu de tout ça il y avait quand même un ascenseur. Je le pris et arriva dans un grans hall. Ce hall était presque vide. En fait il n'y avais que le réceptionniste qui me montra où était la sortie. Je sortis et respirai enfin l'air frais. Je ne savais pas combien de temps j' étais restée endormie mais j'avais l'impression d'avoir de la poussière dans les poumons. Et de plus Tim et Sara devaient beaucoup s'inquiéter alors je me dépéchai de rentrée. Quand j'arrivai Sara me sauta dans les bras. Et Tim fit la même chose. Tandis que Max me remercia une bonne vingtaine de fois d'avoir risquée ma vie pour sauver la sienne. Je leur expliquai ce qui c'était passer après leur départ. Tout en exluant le fait qu' on est en danger. Je préférais ne pas les inquiéter pour rien. Si ça se trouve c'était juste une technique de mon père pour me faire changer d'avis. Tout ça me donnait le tournis. Cette journée, mon père, ....
Je décidai alors de sortir dehors, pour m'aérer et j'entendis la bee- vitrée s'ouvrir et se refermée derrière moi. Je me retournai, c'était Tim.

Tim - C'est quoi cette histoire de danger ?

Moi - Mais je n'ai pas dis que... Ah oui c'est vrai.... Ce n'est rien. Juste une technique de mon père pour me faire changer d'avis.

Tim - Arrête de te mentir.

Moi - Me mentir ? Bien sûr que non.

Tim - bien sûr que si. C'est plus facile de se dire que c'est lui le méchant que de se dire que en fait il voulait peut-être juste ta sécurité. Ce que je veux aussi par la même occasion. Alors tu vas me dire ce qui c'est passé ou je le decouvrirai moi-même.

Autant il pouvait être une crème autant il pouvait se montrer très persuasif. Alors je lui racontait toute l'histoire. Qu' il ecouta avec attention. À la fin de mon histoire, il me dit de faire quand même attention je pouvais peut-être être en danger. Je dit oui même si je n'en croiais pas un mot. Et quelqu'un vient sonner à la porte. Qui pouvait bien ce nie à cette heure si ? Il était 22h !!! Max alla ouvrir.

Je sais, je sais très petit chapitre... Et avec sûrement le nombre record de fautes d'orthographes! Mais il me semblait y avoir un peu trop d' informations ( ou alors c'est juste moi ). En tout cas je vous remercie d'avoir lu ce chapitre. Un gros bisou à tous !

Manon.