maintenant je comprend papa.

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Je me réveilla attaché sur une chaise. Je ne voyais pas où j'étais car cet endroit était dans le noir. Mais j'avais la curieuse impression d'être espionnée. Je réfléchissais a un plan. Si je me détachais et que je m'enfouiais il y avais de grande chance pour que je tombe sur quelqu'un de plus fort que moi. Mais si je restais là j'étais sur à 99% qu' on viendrai me chercher. Il y avais quand même cette curieuse impression qui persistait. Je me rememorais les derniers souvenirs que j'avais. Il y avait la dispute avec Tim puis l'insomnie. Plus je réfléchissais a ça plus je souffrais de maux de tête. Mais je me reconcentrais. Ensuite la ruelle. Puis Raphaël et ... Oh non. Le monsieur que Raphaël attendais. Je ne veux pas te faire de mal. Mon œil oui ! Une vague de colère m'emplit et je défis les chaînes en deux temps trois mouvements. Je me mis sur mes pieds. Quand quelqu'un alluma la lumière. Ce qui m'aveugla. Je mis un genou pas terre pour ne pas tomber a la renverse car un mal de tête m'assailli. Ça se calma et je pu ouvrir les yeux et me relever. Je vis alors que c'était Raphaël qui se tenait devant moi. Ce traître!

Moi - C'est quoi ce bordel ? Tu m'explique.

Raphaël - Non pas moi.

Le monsieur de la ruelle apparu.

Lui - Je vais te demander de t'assoir Maéva.

Je ne voulais pas d'ennui. Alors je fis ce qui me demanda.

Lui - Bien. Alors on va procédé ainsi : je te pose une question et si tu me réponds franchement. Alors dans ce cas la tu pourra m'en poser une aussi que je répondrai avec franchise. Ok ?

Moi - Ok.

Je regardais Raphaël il restait impassible.

Lui - Alors dis moi , as tu des frères et soeurs?

Moi - Non. Je suis fille unique.
Lui - Ok, ta question.

Moi - vous êtes qui ?

Lui - Raphaël ta parler de la société des "yeux vert" et bien c'est moi le directeur.

Moi - Ok.

Lui - Quel est le don de Sara ?

Moi - vous savez déjà la réponse. Sinon vous ne sauriez pas son nom.

Le directeur - Tu n'as pas répondu a ma question.

Moi - Le feu et la chaleur.

Le directeur - je préfère ça.

L' interrogatoire continua ainsi pendant 1h30 quand soudain il me dit.

Le directeur - bien. Je n'ai pas d'autre question.

Moi - Je peux rentrer chez moi ?

Le directeur - Non.

Moi - Pourquoi?

Le directeur - Parce que.

Il parti me laissant seule dans la grande pièce blanche. Où se trouvait un lit aux draps blancs avec une chemise de nuit blanche posée dessus. Une chaise en plastique blanc au milieu de la pièce. Et une table de nuit en bois peint en blanc à côté du lit. Décidément, il n'aimait pas beaucoup les couleurs. je m'assis sur le lit et je remarqua une horloge blanche (décidément) juste en face de moi. Il était 11h00. J'avais perdue connaissance pendant si longtemps! ? Et j'allais devoir rester encore longtemps si il y avait une robe de nuit et un lit. Je serai donc sûrement obligée de dormir ici. Aurai-je au moins à manger ? Et qu'est ce que je pourrai faire ? Je baladai mon regard dans la pièce et je remarqua 3 livres posés sur la table de nuit. Je les prit. Il y avait "Starters", " Enders" et " Phobos". Ouf! Il y en avait au moins un que je n'avais pas lu! Je me coucha.Avec un sourir au lèvres. S' ils pensaient vraiment que j'allais rester là bien tranquillement, ils se mettaient le doigt dans l'oeil! Il fallait que je réfléchisse à un bon plan avec de grande chances de réussite. Car je ne savais pas ce qui ce trouvait derrière cette porte. Il pouvait autant il y avoir dix gardes au yeux verts. Ou peut-être rien autre qu un garde à moitié endormi. Je pouvais peut-être passé par la fenêtre. Je regardai les murs. Il n'y avait pas de fenêtre. Bon. Une possibilité en moins. Il n'y avais, comme seule issue. La porte. Cette porte était en même temps la liberté et la prison. Pff. Question chance on repassera. Je m'avançais vers la porte quand une voix résonna dans la pièce.
"Es - tu sûre de ce que tu fais Maéva? "
Je me figeai. Qui avait dit ça? Je cru reconnaitre la voix du directeur. Mais de toute manière il ne faisait que parler. Je continua d'avancée.
"Fais attention à ce que tu fais."
Je continua mon chemin comme si je ne l'avais pas entendu. Je mis ma main sur la clinche. Et la fit descendre doucement. Tout doucement. J'ouvris la porte en grand et je vis Raphaël. Personne d'autre que Raphaël.

- comment vas-tu? Commença- t- il.

Moi - Disons que j'aime pas vraiment me faire enfermée. Je me sens compressé. Je ne t'ai jamais dis que j'étais clostrophobe?

Lui - Toi ? Clostro ? Non je ne pense pas.

Moi - Et pourquoi pas.

Lui - Car avant d'aller chez quelqu'un je me renseigne. Et il n'y avait pas indiqué que tu étais clostophobe sur ta fiche médicale.

Moi - Tu marques un point. Mais je compte quand même partir d'ici. Clostro ou pas.

Lui - Mais je ne te laisserai pas passé.

Moi - Si tu penses pouvoir m'arrêter!

Lui - Viens que je te montre.

Je savais que je m'attaquait à plus fort que moi et que j'avais une très petite chance de le battre. Mais après tout. Rester dans cette pièce volontairement ou se faire forcer. Le résultat étais le même non ? Et un peu de distraction n'était pas de refus. Je m'avançais un peu vers lui. Je regardais autour de moi. Zut. Aucun objet a faire voler sur lui. Et si je le faisais lui ?

Point de vue de Raphaël :

Je vis Maéva chercher un objet quelconque a me lancer grâce a son don de télékinésie. Mais ces recherches sont vite terminées. Ils n'y avais pas d'objets. Elle me regarda moi et une lueur passa dans ces yeux. Une lueur de malice et de défi. Elle voulait me faire voler MOI ! Ça ne presageai rien de bon. Mais je n'avais peut-être pas de don de combat mais j'avais la technique de mes longues séances d'entraînement. Peut-être devrais-je l'endormir ? Je vis qu' elle essayait de se concentrer. J'avancais,plus je m'avancais plus elle était nerveuse. C'était facile, trop facile oh non je suis tombé dans le piège!  Je n'eu le temps de rien faire que je me retrouvait a l'autre bout de la pièce. Elle resta sur place. Bizarre je m'attendais a ce qu' elle en profite pour partir.

Elle - Je ne partirai pas tant que vous ne m'expliquerai pas pourquoi vous avez tué mon père.

Désolée mais je viens De me rendre compte qu' il manquait un bout du chapitren

Les yeux mauves.Where stories live. Discover now