Naruto: Un monde parallèle au mien TOME 1 [TERMINÉ]

Chapitre 16 : LA condition...

Je sors de ma maison et me dirige vers la rue. Je vais dans le quartier un peu plus loin. Il y a toujours des tonnes de bonbons, là-bas.
Arrivée à la première maison, je frappe à la porte.

Malheur de malheur... Il fallait bien que le ciel me tombe sur la tête ce soir, hein !?!
Eh, oui... C'est Karen qui ouvre la porte.

-   Tiens tiens ! Dora passe encore l'halloween.

Elle fait un party chez elle, c'est certain, car il y a de la musique dans le plafond et des voix de pas mal de monde qui résonnent dans mes oreilles.

-   Je suis désolé, je n'aurais pas dû cogner à cette porte...

Au moment où je tourne les talons, on m'attrape par le collet et on me pousse à terre.
Je tourne la tête et vois deux gars de me classe. Pour être plus précise, ce sont les petit-amis des deux filles que j'ai cognée au gym.

-   Tu arrive juste au bon moment.

-   Tu vas payer pour ce que tu as fait.

Je crois qu'ils n'ont toujours pas digéré le fait que j'ai aplati leures copines.

-   Laissez-moi tranquille... Vous ne voudriez pas que...

Pas le temps de finir me phrase, l'un d'eau me frappe en plein visage. L'autre commence a rire.

-   Que quoi ?!? Que tu nous aplatisse !?!? N'importe quoi ! Comme si dora pouvais faire ça !

La colère me montre jusqu'aux oreilles. Ils n'auraient pas dû dire une chose pareille. Ils vont le regretter.

D'instinct, je saisis deux shurikens et les lance sur mes adversaires. Seulement, ils ne sont qu'en carton, donc ils n'ont pas vraiment eu d'effet, excepté de mettre les deux gars en énorme colère.

L'un des deux vient pour me frapper en plein visage, mais n'esquive en roulant sur le sol. L'autre essaie de me frapper lui aussi, mais je le fais trébucher a l'aide de mes jambes.
Je me mets sur mes deux pieds.

Le premier se relève debout et essaie de m'attraper, mais pas de chance pour lui, il se retrouve soudain au sol. Son visage sous mon pied et mon genou de mon autre jambe en plein sur ses bijoux.
Inutile de dire qu'il geint comme un bébé.

Pendant ce temps, l'autre gars a le temps de se relever et de faire craquer son cou. Il frappe son poing contre son autre main en avançant vers moi. Je défet de mon emprise le gars pour aller faire valser l'autre par-dessus la barrière.

Je me retourne pour regarder Karen. Je vois dans son regard de la peur, mais surtout de la surprise.

Je me retourne pour voir le visage de l'un de mes adversaires. Le bébé me regarde apeuré et part en courant dans la maison. L'autre, je ne peux même pas le voir. Il est derrière le barrière et sûrement accroupi dans les buissons du voisin.

Je reprends mes shurikens en cartons qui traînaient sur le sol et sort du terrain de Karen. Je pense qu'ils ont eu leur leçon.

Je vais cogner à la maison à côté et ramasse des bonbons le reste de la soirée.

Je n'ai pas une seule égratignure, mais je vient de me battre.

Avant, jamais je n'aurais été capable de me défendre. Je serais sûrement à la place du gars de l'autre côté de la barrière. Mais maintenant, grâce aux entraînements, je peux me défendre.

...

Pas besoin de dire que je me réveille avec le sourire, car c'est le cas. Je viens de donner la raclée du siècle à ces deux gars !