Victime de son surnom.

*{Partie 12}*

Feïza : Je lui dois amour respect fidélité, une dame doit être un chef en cuisine, une servante dans le salon et une putain dans la chambre! Oui maman!

Moi : Tu as appris ta leçon jeune padawan fière de toi je suis! *rire* Allez bisous hbiba!

Je lui embrasse le front et rentre dans ma voiture, et elle rejoins la sienne!

Ce soir, je dois voir Kamel, ah lala, les souvenirs de la nuit dernière me font rêver.

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Salam Aleykoum

*{Partie 12}*

Je suis rentrée chez moi, il était environ dix sept heures.

Je suis arrivée exténuée mais heureuse de cette journée, j'espère que son mari saura bien la traiter.

Je me permets de prendre une bonne douche chaude, je n'arrive toujours pas à m'en remettre, mon pauvre papa...

Et voilà que je pleure...

Je suis ensuite sortie, j'ai mangé. Puis je me suis mise à l'aise en attendant Kamel.

Je parlais avec Amina, j'ai décidé d'en savoir un peu plus sur cette petite.

Moi : Tu veux pas venir chez moi ? Je suis seule jusqu'à 21h.

Amina : Qu'est-ce qu'il y a ?

Moi : Bah rien j'ai juste envie de passer du temps avec ma nouvelle cops 😀

Amina : T'es en train de mentir et d'ici je le sens. Ton smiley était mal placé, et les mots que tu as utilisés aussi.

Moi : Bon tu viens ou pas ?

Amina : J'arrive.

Elle est venue une demi-heure plus tard.

Amina : Ça va ?

Moi : Bah oui pourquoi ?

Amina : Alhamdoulilah !

Moi : Dis...T'es en couple ?

Elle s'est calée plus profondément sur le canapé et m'a regardé dans les yeux.

Amina : Je vois que tu as des doutes concernant ma personnalité, tu me trouves louche, jusqu'à être partie te renseigner.

Ok, là c'est carrément flippant !

Moi : Nan du tout, je te pose une question.

Amina : Tu as vu Feïza aujourd'hui ! Et tu lui as demandé d'où elle me connaissait.

Moi : Ok...

Amina : Elle t'a dit que j'étais bizarre, renfermée, mais elle ne t'a pas dit que j'étais télépathe, télékinésite, et empathique.

J'ai ouvert TRÈS grands mes deux yeux de biche.

Moi : Quoi ?

Amina : Je sais à quoi tu penses.

Moi : Là je pense à quoi ?

Je pensais à mon bébé, AbdAllah j'allais l'appeler, serviteur de Dieu comme mon père. C'était un petit garçon...

Amina : Tu penses à AbdAllah

Moi : C'est qui ?

Amina : Ton bébé, comme ton père.