*{Partie 38}* : Les problèmes

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Kamel : Tu crois que c'est le comportement d'une bonne femme de pas faire la bouffe ?

Moi : PARCE QUE TU AS LE COMPORTEMENT D'UN BON MARI PEUT ÊTRE, T'AS VU COMMENT TU TRAITES TA FEMME EN PLUS ENCEINTE

Kamel : TA GUEULE

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Salam aleykoum

Aïdkoum mabrouk🎉 qu'Allah nous pardonne, accepte notre jeûne et accepte nos prières amine.

*{Partie 38}* : Les problèmes.

Je gémis en me tenant le ventre, les larmes coulent sur mes joues et Kamel m'enjambe et sors de la maison.

Je suis restée un bon quart d'heure par terre et j'ai rampé jusqu'au canapé.

Mon téléphone dans ma poche sonne et je vois que c'est ma sœur.

Feïza : Allô

Je ne réponds pas et elle commence à paniquer.

Feïza : Zahia! Réponds !

Une douleur au ventre me paralyse et je crie en lâchant le téléphone.

***

Je me réveille sur un lit. Dieu comment j'aime pas les hôpitaux.

Une infirmière, la même que la dernière fois est à côté de moi et appelle le médecin.

Médecin : Vous vous sentez bien ?

Moi : Comment vas mon bébé s'il vous plait ?

Médecin : On va en parler après mademoiselle il vous faut beaucoup de repos, on parlera demain je vais vous admnisitrer un calmant et dormez.

Je commence à pleurer et crier mais il me pique et je m'endors.

***

Médecin : Vous avez eu extrêmement de la chance, et vous êtes en surmenage il faut penser à prendre des congés. Vous commencez à faire une grossesse à risque je vous prescrit des médicaments et beaucoup de repos.

Moi : Je dois vraiment continuer mes études monsieur...

Médecin : Alors vous faites école-maison maison-école ménagez vous. Sinon vous allez droit vers le prématuré ou le mort né...

Ce qu'il me dit me fait froid dans le dis mais je bois ces paroles comme de le plus frais des 7ups mojito.

Une fois le docteur sorti. Je passe la main sur mon ventre et tourne la tête vers la fenêtre.

À l'heure qu'il est je me dis que la seule solution et de divorcer.

Je sais qu'il va finir par me tuer si je ne pars pas, et j'ai dans l'optique maintenant de finir ma grossesse et mes études pour mon bébé.

Appartement le col aurait des risques de s'ouvrir si je continue de me surmener comme ça.

Quand je suis sortie, Feïza m'a amené chez nos parents.

Je les ai retrouvés avec joie et j'ai pris mon papa à part.

Moi : Je voudrais te parler euh..de...en fait je...je veux divorcer de Kamel.

Victime de son surnom.Where stories live. Discover now